CirconscriptionAdministrative Antique Ancienne Circonscription Grecque 4 Lettres Circonscription Grecque Antique Circonscription Grecque Division Administrative Grecque Cest De Ldivision Administrative Grecque Ivision Administrative Grecque Division Administrative D'une Cité Grecque Antique Circonscription Ecclesias Circonscription D Un Eveque
Accueil •Ajouter une définition •Dictionnaire •CODYCROSS •Contact •Anagramme Barde de la Grèce antique — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Recherche - Solution Recherche - Définition © 2018-2019 Politique des cookies.
Lesmers en Grèce. 20 novembre 2016. Quelles sont les mers qui bordent la Grèce ? Question utile sur la géographie de la Grèce. Voici votre carte des mers avant de partir en Grece. Les mers qui entourent la Grece sont trois. Les mers qui entourent la Grèce sont trois. La mer ionienne. Elle s’étend entre l’Italie et la Grèce et sa
La solution à ce puzzle est constituéè de 5 lettres et commence par la lettre D Les solutions ✅ pour CIRCONSCRIPTION GRECQUE ANTIQUE de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres types d'aide pour résoudre chaque puzzle Voici Les Solutions de Mots Croisés pour "CIRCONSCRIPTION GRECQUE ANTIQUE " 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Suggéré par les utilisateurs Utilisateur Solution Lettres Anonyme Nike 4 Partagez cette question et demandez de l'aide à vos amis! Recommander une réponse ? Connaissez-vous la réponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! Similaires
4Loraux, 1997 : 202 sq., avec une traduction française p. 223 sq. ; pour un commentaire récent de l’ ; 5 Voir Loraux, 1997 : 230-231.; 7 Le terme adelphothetia,« affrèrement », utilisé dans cette inscription est un hapax, mais, suivant en cela les analyses développées par Nicole Loraux4, il nous faut constater que l’intention manifeste de la solution choisie pour réconcilier les
La démocratie athénienne désigne le régime politique mis en place progressivement dans la cité d'Athènes durant l'Antiquité et réputée pour être l'ancêtre des démocraties modernes. Le terme démocratie vient des mots grecs δῆμο / dêmos le peuple» et κράο / krátos la puissance, le pouvoir». Il s'agit donc d'un régime où les décisions sont prises par le peuple. La cité Plate-forme de la Pnyx d'où parle l'orateur public. En arrière-plan, l'Acropole. Athènes est fondée formellement vers 750 av. par synœcisme de plusieurs agglomérations partiellement préservées de l'invasion des Doriens. Le site est choisi pour la forteresse naturelle que représente l'Acropole ; les habitants peuvent résister aux hordes de pillards qui menacent la région, augmentant avec les années sa fortification. À partir de 510 av. cette fonction défensive est abandonnée, le lieu étant consacré aux cultes et notamment celui d'Athéna, déesse protectrice d'Athènes. Des remparts encerclent à partir de 478 av. la ville et son port, le Pirée. Rares sont les bâtiments au-delà des quinze majestueuses portes, exception faite du populaire quartier du Céramique dont la production inonde le monde grec entier, ainsi seuls quelques gymnases et écoles de philosophie s'excentrent pour que leurs élèves profitent de la tranquillité et soient totalement isolés pendant les deux années de leur éphébie. L'agora devient le centre social et politique de la cité avec l'installation des institutions démocratiques sur cette place. En été de nombreux débats houleux ou amicaux se tiennent à l'ombre du portique sud et de la Stoa Poikilè, on discute politique et philosophie. Des joutes oratoires d'un autre genre se déroulent sur la Pnyx, colline sur laquelle sont votées toutes les lois athéniennes. La cité est donc le cœur de la démocratie. Genèse de la démocratie La naissance de la démocratie peut être considérée par rapport à un horizon politique au sens large du terme qui va rendre cette réforme possible et nécessaire, une crise politique et sociale totale, la stasis. Les citoyens qui régissent leurs affaires sont amenés à réfléchir au meilleur système politique, à la meilleure politeia, c'est-à-dire la meilleure façon de s’organiser pour surmonter cette crise multiple. Les origines de la démocratie athénienne la crise de la cité grecque La démocratie trouve son origine dans la grave crise de la cité grecque et les mutations propres à Athènes. Au VIe siècle av. les cités du monde grec sont confrontées à une grave crise politique, résultant de deux phénomènes concomitants. D'une part l'esclavage pour dettes, liant situation politique et situation financière, touche un nombre grandissant de paysans non propriétaires terriens l'inégalité politique et le mécontentement sont forts dans le milieu rural. D'autre part le développement de la monnaie et des échanges commerciaux fait émerger une nouvelle classe sociale urbaine aisée, composée des artisans et armateurs, qui revendique la fin du monopole des nobles sur la sphère politique. Pour répondre à cette double crise, de nombreuses cités modifient radicalement leur organisation politique. À Athènes, un ensemble de réformes amorce un processus débouchant au Ve siècle av. sur l'apparition d'un régime politique inédit une sorte de démocratie pour les hommes libres mais avec la continuation de l'esclavage. À titre d'exemple, le philosophe Jacques Rancière estime que la démocratie est née historiquement comme une limite mise au pouvoir de la propriété. C’est le sens des grandes réformes qui ont institué la démocratie dans la Grèce antique la réforme de Dracon qui réforma la justice, la réforme de Clisthène au VIe siècle av. instituant la communauté politique sur la base d’une nouvelle redistribution territoriale qui cassait le pouvoir local des riches propriétaires ; la réforme de Solon interdisant l’esclavage pour dettes »[1]. On ne saurait méconnaître cependant le lien essentiel entre démocratisation économique et sociale décrite ci-après et démocratisation politique, non plus que l'essor naval athénien à partir de 483 av. qui conditionna la démocratie[2]. Paupérisation rurale À partir du VIIe siècle av. la plupart des cités grecques sont confrontées à une crise politique. Le commerce se développe, notamment avec l'apparition de la monnaie au Ve siècle av. en provenance de la Lydie de Crésus, en contact avec les cités grecques avant la défaite de -546 face au Perse Cyrus. Ce développement extraordinaire du commerce méditerranéen a deux conséquences. D'une part, les agriculteurs grecs sont peu compétitifs face à la concurrence de plus en plus vive des terres fertiles de la Grande-Grèce récemment colonisée. De plus en plus de paysans, incapables d'écouler suffisamment leur production, sont condamnés à se vendre comme esclaves pour faire face à leurs dettes. Cette main-d'œuvre servile est utilisée par les urbains et vient donc elle-même concurrencer les petits artisans indépendants. Ces sujets peu fortunés, sur lesquels repose une part croissante de l'économie, viennent grossir le rang des chômeurs et manifestent leur mécontentement. Révolution hoplitique émergence d'une petite bourgeoisie Gravure d'un hoplite. D'autre part, corrélativement à l'appauvrissement des masses paysannes, émerge une nouvelle classe de sujets aisés, faite de commerçants et d'artisans notamment potiers à Athènes[réf. souhaitée]. Ceux-ci sont dorénavant suffisamment riches pour acheter des équipements d'hoplites la guerre n’est plus l’apanage de l'aristocratie. Le système aristocratique basé sur la propriété agraire est battu en brèche face aux revendications égalitaires de ces nouveaux citoyens-soldats. On parle de révolution hoplitique. Instabilité politique Au sein de chaque cité les grandes familles s'appuient sur le mécontentement populaire tant des paysans appauvris que des nouveaux riches urbains pour mieux se disputer le pouvoir. Elles n'hésitent pas non plus à faire appel à des puissances extérieures pour renverser les tyrans. Ainsi, les cités se combattent fréquemment entre elles, ce qui nourrit souvent les révoltes, par ailleurs durement réprimées. Mais les guerres sont aussi parfois un facteur de cohésion interne des cités. En outre, chaque cité grecque frappe désormais sa propre monnaie, forgeant ainsi une nouvelle composante majeure de son identité. Au Ve siècle av. les cités grecques ne frappent plus la monnaie irrégulièrement et chacune appose un signe particulier sur la monnaie qu'elle frappe, l'épicène, qui permet de la reconnaître. Pour la monnaie athénienne, c'est une chouette. Qu'elles retardent ou précipitent l'éclosion d'un nouveau régime, les différentes mesures politiques guerres, chutes de régime, répressions, levées ou baisses d'impôts, introductions de monnaies n'y pourront peu la donne sociale a définitivement changé. Partout la nouvelle configuration des rapports de forces sociales fait émerger une nouvelle donne politique. Deux nouveaux modèles, appelés à s'opposer dans le siècle à venir, se distinguent par leur originalité l'oligarchie militaire spartiate et la démocratie athénienne. Les réformes politiques La démocratie athénienne ne naît pas d’insurrections populaires mais de l'engagement de citoyens en politique pour assurer l'unité de la cité. On distingue quatre principales séries de réformes. Réformes de Dracon Dracon est mandaté, en 621-620 av. pour mettre par écrit des lois ; on ne connaît bien que sa législation sur les meurtres désormais, tout meurtrier est soustrait à la vengeance des clans et un véritable procès se déroule devant l'Aréopage ou devant les tribunaux des Éphètes[3]. La sévérité des peines prévues reste légendaire, et l'adjectif draconien » devient synonyme d' implacable ». Mesure limitée qui, cependant, affirme pour la première fois l'autorité de l'État au-dessus des parentés dans le domaine de la justice, instaure un droit commun pour tous et, par là même, porte atteinte à l'arbitraire des aristocrates. Six thesmothètes gardiens de la loi écrite viennent alors renforcer le collège des archontes. Malgré l'amplification de la crise, le monopole économique et politique des grandes familles athéniennes, les Eupatrides, n'est cependant en rien attaqué, les archontes dirigeant collégialement la cité étant toujours tous issus de ces milieux. Deux modèles résolvant ce problème émergèrent en Grèce au VIe siècle av. soit l'arbitrage d'un législateur, chargé, dans une sorte de consensus, de mettre fin à des troubles qui risquent de dégénérer en guerre civile ; soit la tyrannie, qui, dans l'évolution de la Grèce archaïque, apparaît bien souvent comme une solution transitoire aux problèmes de la cité. Avec Solon, le législateur, puis avec les Pisistratides, Athènes fera successivement l'expérience de l'une et de l'autre. Réformes de Solon Solon. Athènes est en pleine crise politique et sociale lorsque les adversaires se mettent d'accord pour choisir Solon comme arbitre. Archonte de -594 à -593, législateur, auteur d’un code de lois, il aurait effacé les dettes, interdit l’esclavage pour dettes et défait les lois draconiennes. Il a surtout effectué des réformes constitutionnelles qui lui valurent la réputation d'être le père de la démocratie. Le système qu'il a proposé est un peu différent de la ploutocratie. Il existerait alors quatre groupes socio-économiques à Athènes les aristocrates, ou Eupatrides, composés des propriétaires fonciers les plus riches ; les gémoroi, cultivateurs, constitués des autres propriétaires fonciers ; la classe populaire, qui compose le reste de la population et vit de son salaire ou du commerce ; les esclaves, considérés comme des biens et non comme des hommes libres. Des hommes libres, Solon tire quatre classes censitaires. D'après le nombre de mesures de blé, de vin et d'huile que le citoyen possède, il appartient à l'une des quatre classes » suivantes les pentacosiomédimnes, qui possèdent plus de 500 médimnes de céréales ; les hippeis, cavaliers plus de 300 médimnes ; les zeugites, laboureurs plus de 200 médimnes ; les thètes moins de 200 médimnes. Les plus hautes magistratures ne sont accessibles qu'aux plus hautes classes ; les thètes n'ont accès qu'à l'Ecclésia et aux tribunaux. L'accès aux charges passait toutefois par une élection à l'Ecclésia. Aristote affirme qu'il aurait créé un deuxième Conseil de quatre cents membres[4] à raison de 100 par tribu au fonctionnement probouleumatique[5] mais aucune preuve de son existence n'a été découverte à ce jour. La véritable originalité de Solon réside toutefois dans ses réformes judiciaires il créa l'Héliée, un tribunal populaire ouvert à tous où, chose nouvelle, chacun avait le droit d'intervenir en justice contre quiconque aurait enfreint les lois, affirmant ainsi la responsabilité collective des citoyens. Réformes de Clisthène et poussée politique des thètes Organisation géographique de l'Attique. À travers sa réforme de -508, Clisthène, membre d’une des plus grandes familles d’Athènes, les Alcméonides, concéda au peuple la participation non seulement aux décisions politiques mais aussi aux fonctions politiques en échange de son soutien. Cette réforme repose sur la réorganisation de l’espace civique. Les anciennes structures politiques fondées sur la richesse et les groupes familiaux furent remplacées par un système de répartition territoriale. Un citoyen athénien ne se définit désormais plus que par son appartenance à un dème, circonscription administrative de base de la vie civique ; chaque citoyen athénien doit être admis dans son dème lors de ses dix-huit ans. L'Attique est divisée en trois ensembles la ville asty, la côte paralie, et l’intérieur mésogée. Dans chaque ensemble se trouvent dix groupes de dèmes, nommés trittyes. La réunion de trois trittyes, une de chaque ensemble, forme une tribu, phylè il y a donc dix tribus. Chaque tribu regroupe plusieurs membres ; ils sont mélangés et non pas classés par culture, région et classes sociales afin que la population soit répartie de manière homogène et que les goûts politiques et culturels et les envies soient tous entendus[6]. Ce système, sur lequel se base la nouvelle organisation des institutions, casse la pratique du clientélisme traditionnel. On parle d'isonomie, ce qui ne signifie pas égalité devant la loi », comme on l'affirme souvent, mais égale répartition » du verbe grec νέμ, répartir, distribuer[7]. Nouvelle organisation administrative et civique de l'Attique après la réforme de Clisthène. À la structure sociale et administrative hiérarchisée Dème ⊂ Trittye ⊂ Tribu ⊂ Cité, Clisthène fait correspondre une structure hiérarchisée du pouvoir Prytanes ⊂ Boulè ⊂ Ecclésia. Juges ⊂ Héliée ⊂ Ecclésia. La Boulè passe ainsi de 400 à 500 membres, 50 pour chaque nouvelle tribu, et sert non plus à éclairer l'Aréopage mais à définir l'ordre du jour de l'Ecclésia. Malgré la création des tribunaux de l'Héliée, la mainmise sur le pouvoir judiciaire de l'Aréopage reste prédominante. La réforme ne retint pas le vote comme mode principal de désignation des responsables politiques, lui préférant des tirages au sort pour la désignation des bouleutes et des héliastes et un système d'alternance régulière pour les prytanes, ce qui fait, pour partie, de la démocratie athénienne une stochocratie. D'autre part, lorsque Thémistocle convainquit les Athéniens de construire une flotte de combat pour leur défense contre les Perses, en 483 av. il fallut embarquer des milliers de citoyens de la quatrième classe, les thètes à raison de 174 rameurs par bâtiment, pour une flotte de deux cents trières, ces citoyens pauvres acquéraient un poids politique bien plus important que celui des hoplites. Cet essor naval d'Athènes conditionna aussi la démocratie proprement dite. Réformes de Périclès Vers le milieu du Ve siècle av. en 451 av. Périclès mit en place une indemnité journalière de présence au sein de l'Héliée et de la Boulê, ainsi qu'aux spectacles des Panathénées c’est le misthoï salaire » destiné à faire participer les citoyens les plus pauvres et résidant le plus loin de la ville[8]. Elle leur permettait de chômer un jour pour assurer leurs fonctions civiques et politiques. Le montant de cette indemnité ou misthos passa de deux à trois oboles par jour sous Cléon, soit l'équivalent du faible salaire d'un ouvrier. Cette mesure renforça le caractère démocratique du régime athénien. Cependant, Périclès se distingua plus par ses actions militaires et diplomatiques et par les grands chantiers qu'il entreprit que par sa rénovation des institutions politiques. En -451, Périclès fit adopter un décret qui imposa, pour devenir citoyen, d'être né de l'union légitime d'un père citoyen et d'une mère, fille de citoyen[9]. Fonctionnement de la démocratie athénienne La citoyenneté athénienne Jusqu'en 451 av. pour être citoyen athénien, il faut être un homme né de père athénien, et avoir suivi l'éphébie de 18 à 20 ans, c’est-à-dire être capable de défendre la cité. L'éphébie est en effet une formation militaire et civique qui permet à la cité d'assurer sa défense sans avoir d'armée permanente ; elle prémunit aussi la ville des risques de tyrannie. En 451, Périclès modifie la loi qui désormais confère la citoyenneté au jeune adulte à la seule condition de la double filiation d'un père de statut citoyen et d'une mère, fille de citoyen, ce second critère introduisant une restriction notable. Les esclaves et les femmes considérés respectivement comme des biens et d'éternelles mineures, ainsi que les métèques étrangers n'étaient pas inclus dans la communauté politique, comme dans la plupart des cités grecques. Cependant, si un métèque non barbare c’est-à-dire grec accomplissait de hauts faits pour la cité, il pouvait recevoir, à titre exceptionnel et en remerciement de ses actions, la citoyenneté athénienne, moyennant finances. Une telle décision ne pouvait être prise qu'à la suite d'un vote de l'Ecclésia réunissant 6 000 citoyens. Ces naturalisations sont donc très rares et solennelles. Par exemple, un métèque riche a fait don à la cité d'Athènes de plus de 1 000 boucliers, et il n'a jamais obtenu cette citoyenneté. La rareté de ce droit de cité accordé à des étrangers s'explique par le désir de maintenir un équilibre optimum entre le territoire et ceux qui se le partagent, et de ne point accroître inconsidérément le nombre des citoyens, c'est-à-dire des ayants droit[10]. La citoyenneté conférait un pouvoir politique, mais aussi une protection judiciaire, les citoyens ne pouvant ni être soumis à la question torture, ni être condamnés au supplice ou à une peine corporelle. Les seules peines qui pouvaient leur être infligées étaient donc l'amende, l'atimie, l'exil, et la mort. La citoyenneté confère aussi un privilège économique seuls les citoyens peuvent avoir une propriété foncière. Ce privilège s'explique par l'histoire de la démocratie athénienne ; héritier d'un passé aristocratique, le régime considérait l'agriculture comme le seul travail digne d'un citoyen, et valorisa la vie de rentier. Le citoyen athénien avait le droit de voter et d'être élu mais il avait le devoir de faire la guerre et de payer les impôts. Par ailleurs, les riches devaient financer les liturgies et les pauvres devaient être aidés financièrement pour pouvoir participer à la vie de la cité. Les institutions politiques Répartition des pouvoirs politiques dans l'Athènes démocratique au IVe siècle. Les institutions constitutives de la démocratie athénienne nous sont connues essentiellement grâce à la découverte inopinée, à la fin du XIXe siècle d'une Constitution des Athéniens attribuée à Aristote, et à ses disciples du Lycée, et rédigée aux environs de 330 av. Bien que la démocratie athénienne n'eût jamais de constitution écrite officielle, les rôles de ses institutions n'en demeurent pas moins clairement connus et distincts les uns des autres. Leurs évolutions font donc l'objet de subtiles luttes politiques. L'Ecclésia C'est l'assemblée qui rassemble tous les citoyens réunis sur la colline de la Pnyx. Elle vote les lois en général avec un quorum de 6 000 citoyens, en certaines circonstances ; la participation est normalement inférieure à ce chiffre si l'on en croit Thucydide[12],[13]. Ces votes se font à main levée et à la majorité simple. N'importe quel citoyen peut prendre la parole liberté qu'en grec ancien on appelle ἰηγορία, isegoria, exercer son pouvoir d'amendement et proposer une motion. C’est le propre de la démocratie directe. Une fois votée, la loi est exposée au public sur l'Agora. Selon un processus similaire, l'Ecclésia peut, une fois par an, prononcer l'exil d'un citoyen, pour différents motifs et pour une durée déterminée. Ce vote est appelé l'ostracisme dont le nom vient du morceau de céramique l'ostracon sur lequel est inscrit le nom de la personne dont on demande le bannissement. Cette sanction est dure, car le banni n'est plus protégé par sa cité. Il est soumis à tous les aléas, et dans les pires cas, il peut connaître l'esclavage. La réunion annuelle d'ostracophorie s'effectue après celle pendant laquelle les magistrats, bouleutes et héliastes sont tirés au sort pour des mandats d'un an. Elle nécessite la présence de 6 000 membres, c'est le fameux quorum de 6 000. Cette pratique disparaîtra en 417 av. après avoir frappé une dizaine de grands hommes politiques athéniens, évincés par des rivaux politiques. La Boulè La Boulè orthographiée parfois Boulê est le nom générique des conseils dans différents régimes grecs. À Athènes, la Boulê est souvent appelée Conseil des Cinq-Cents », car, à partir des réformes de Clisthène, elle est composée de 500 membres bouleutes à raison de cinquante par tribu. Les bouleutes sont tirés au sort parmi des listes dressées par chaque dème de citoyens volontaires âgés de plus de trente ans et renouvelés chaque année l'absence de toute qualification autre que d'âge empêche que la fonction soit l'objet d'une compétition ; un citoyen ne peut être bouleute au maximum que deux fois non successives, ce qui exclut la possibilité d'y faire carrière. Cette assemblée siège de façon permanente. La présidence et la coordination du travail sont assurées par les prytanes. Chaque tribu assure pendant un dixième de l'année 35-36 jours la prytanie, c'est-à-dire la permanence. Le principal travail de la Boulè est de recueillir les propositions de loi présentées par les citoyens, puis de préparer les projets de loi pour pouvoir ensuite convoquer l'Ecclésia. La Boulè siège au Bouleuterion, bâtiment contigu à la Tholos sur l'Agora. On a pu dire de la boulé athénienne que c'était une machine à éliminer les influences et à faire triompher le sens commun du démos, et le meilleur garant de la démocratie »[14]. Les magistrats La magistrature est une institution de la démocratie athénienne. Elle comprend environ 700 magistrats, choisis par élection, désignation, ou par tirage au sort. Leur mandat dure le plus souvent 1 an mais il existe plusieurs exceptions[15]. Les magistrats gèrent les affaires courantes et veillent à l'application des lois. Ils doivent exercer leur pouvoir de manière collégiale, aucune magistrature n'étant légalement en état de développer un pouvoir personnel, ce qui est censé éviter le retour à la tyrannie. Les magistrats et les ambassadeurs sont contrôlés à la fin de leur mandat. C'est la reddition de comptes que l'on nomme euthynai. Cela permet aux Athéniens de contrôler efficacement les magistrats et de limiter ainsi les dérives. Avant d'être investis, les hommes tirés au sort devaient passer devant une commission de contrôle qui avait pour mandat de s'assurer que les individus sélectionnés possédaient les compétences nécessaires pour exercer la magistrature pour laquelle ils avaient été désignés[16]. La dokimasia est l'examen préliminaire que subissent les futurs magistrats pour limiter les effets malheureux du tirage au sort. Il s'agit d'un examen de capacité légale il permet de vérifier que le candidat est bien citoyen, qu'il a bien l'âge minimum et le cens requis, qu'il n'a jamais occupé le poste et qu'il n'est pas frappé d'incapacité juridique. Il se déroule soit devant la Boulé, soit devant l'Héliée[17]. Magistratures athéniennes liste non exhaustive Archontes Édiles Magistratures judiciaires Magistratures financières Magistratures commerciales Magistratures culturelles et religieuses Magistratures militaires Magistratures de contrôle L'archonte éponyme Les astynomes Les Onze Les trésoriers Les agoranomes Les hiéropoioi Les stratèges Les euthynes et leurs parèdres L'archonte-roi Les hodopoioi Les juges des dèmes Les colacrètes ou apodectes Les métronomes Les exégètes Les taxiarques Les logistes et leurs substituts L'archonte polémarque Les polètes Les sitophylakes Les athlothètes Les phylarques Les thesmothètes Les logistes Les épimélètes d'emporion Les hipparques Le secrétaire Les hellénotames Les intendants de galère Les practores Les sophronistes Parmi eux, on trouve donc les 10 stratèges, élus pour un an et rééligibles à leurs fonctions militaires, puisqu'ils sont chargés du commandement de l'armée, étaient liées de multiples affaires qui leur ont valu une compétence et une autorité grandissantes. Ce sont les magistrats les plus importants de la démocratie. L'Aréopage L'Aréopage est une institution politique, précédant l'avènement de la démocratie et aux origines mythiques, qui eut pour but premier de conserver les lois », c’est-à-dire de veiller au respect de la constitution, et ayant à cette fin des pouvoirs judiciaires très étendus. Il est formé d'anciens archontes, c’est-à-dire d'anciens nobles riches et puissants avant qu'ils ne fussent tirés au sort. C'est traditionnellement l'institution athénienne la moins démocratique et la plus aristocratique. Elle tient son nom de la colline d’Arès où siègent les aréopagites. Son emplacement, hors de l’Agora qui est le cœur de la cité, a une forte symbolique le crime n'a, littéralement, pas le droit de cité. Les réformes de Dracon permirent aux citoyens de former des recours auprès de l'Aréopage à l'encontre de magistrats les ayant lésés dans l'exercice de leurs fonctions. Celles de Solon renforcèrent encore le pouvoir de l'Aréopage, qui fit alors figure de conseil des Sages, protégeant la cité non seulement contre les menaces internes et prévenant ainsi — paradoxalement — les complots ourdis contre la démocratie mais aussi les menaces externes. À ce titre, l’Aréopage ne rendait compte de ses activités auprès d'aucune autre institution. Après les réformes de Clisthène et les guerres médiques, le pouvoir détenu par l'Aréopage devient donc prépondérant. Éphialtès et Thémistocle travaillèrent de concert pour réduire cette influence au profit de l'Ecclésia, de la Boulê, et des nouveaux tribunaux de l'Héliée. Ainsi, après 462 av. l'Aréopage ne dispose plus de pouvoir politique mais fait figure de vénérable institution. L'Héliée Ce tribunal populaire est composé de 6 000 citoyens, toujours âgés de plus de 30 ans et répartis en dix classes de 500 citoyens 1 000 restant en réserve tirés au sort chaque année pour devenir héliastes[18]. Ils étaient désignés grâce à la plaque que l'on voit ci-contre à gauche. Pour ce faire, on mettait les noms de tous les volontaires dans les cases et on ajoutait des fèves blanches et noires dans un autre compartiment qui a été arraché, puis on tirait au sort un nom et une fève si la fève était blanche, le citoyen était héliaste et si la fève était noire, il ne l'était pas, et on recommençait pour en avoir jusqu'à 500. L'accusation est toujours, en l'absence d'équivalent à nos ministères publics », une initiative personnelle d'un citoyen. Celui-ci percevant, en cas de condamnation, une partie de l'amende, pour indemnisation et récompense de ses efforts pour la justice, certains citoyens font de la délation leur métier, ce sont les sycophantes. Malgré des mécanismes limitant les dérives de ce système, celui-ci contribue à diviser la cité et servit d'argument fort au parti aristocratique contre le nouveau régime. Par un système compliqué et selon l'affaire, on désigne par tirage au sort sous contrôle d'un magistrat instructeur un plus ou moins grand nombre d'héliastes pour chaque procès. Ainsi, à titre d'exemple, pour un procès privé, 201 juges siègent normalement, 401 exceptionnellement. Pour les procès publics, ils sont 501, 1 001, voire 1 501 juges. La tâche de juger est d'autant plus difficile qu'il n'y a ni code de procédure, ni code pénal, offrant ainsi une grande liberté d'interprétation des lois par ailleurs en nombre réduit. De plus, les verdicts sont sans appel et immédiatement exécutoires, on comprend dès lors l'important rôle politique que prennent les tribunaux de l'Héliée. 200 réunions ont lieu par an, chacune sous la présidence d'un magistrat qui ne prenait pas part au vote. Le tribunal des Éphètes, juges des causes criminelles, compte 51 membres, c'est celui qui a le plus accaparé les prérogatives de l’Aréopage ; il peut siéger en quatre endroits différents selon les types d'affaires au Prytaneion, tribunal du sang », ils jugent tout ce qui a pu amener mort d'hommes objets, animaux ; au Palladion, ils jugent les homicides involontaires, les instigations au meurtre, les métèques et les esclaves ; au Delphinion, ils jugent les homicides considérés par l'archonte-roi comme excusables ou découlant de la légitime défense ; à Phréattys sur une plage, ils jugent les bannis pour homicide involontaire qui ont commis un meurtre avec préméditation dans leur exil. L'accusé, encore en état de souillure et interdit de séjour, est alors placé sur une embarcation au large d'où il présente sa défense aux juges[19]. Équilibre entre l’Ecclésia et l’Héliée Au cours du temps, l’Héliée a limité le pouvoir de l'Ecclésia. Au Ve siècle avant notre ère, à l'époque de Périclès, la démocratie est radicale et l'Ecclésia vote tout, toute seule. Mais au IVe siècle av. à l'époque de Démosthène, l'Ecclésia ne vote plus que les décrets. Les lois doivent être votées par les nomothètes sur proposition de l'Ecclésia. Les nomothètes sont tirés au sort de la même façon que les membres du tribunal de l'Héliée, elle-même chargée de veiller à la légalité des décrets. En effet, en 416 av. la procédure de graphè paranomôn ἡ γραφή παρανμν est une action en illégalité pour la mise en accusation d'un décret ; elle se substitue à la pratique de l'ostracisme utilisée pour la dernière fois l'année précédente. Elle permet à n’importe quel citoyen de faire examiner par un tribunal de l’Héliée, le dikastèrion, tout décret ayant été voté par l’Ecclésia ou en cours de proposition par l’Ecclésia. Si le tribunal juge le décret ou la proposition de décret contraire aux lois, non seulement elle est annulée mais son auteur, et l’épistate dirigeant les débats au moment de son adoption ou proposition, sont passibles de lourdes sanctions, allant jusqu’à l’atimie. Si le tribunal est appelé pour juger un décret en cours de proposition et qu’il l’a déclaré compatible avec la loi, cela entraînait son adoption sans réexamen par l’Ecclésia. La graphè paranomôn offre donc à l’Héliée au fil du temps un rôle de co-législateur, partageant le pouvoir législatif avec la Boulê et l’Ecclésia. Résultat à partir de 355 av. les luttes politiques ne se tiennent plus seulement sur la Pnyx, mais aussi devant les Héliastes qui, à l'inverse des ecclésiastes, avaient prêté serment, votaient à bulletin secret, devaient avoir au moins trente ans, et consacraient une journée entière par affaire, alors que l'Ecclésia votait plusieurs décrets en une demi-journée. Les Athéniens considéraient donc que les décisions des nomothètes étaient supérieures, en raison du serment religieux d'écouter également les deux parties et de se déterminer en son âme et conscience, de la sagesse qui vient avec l'âge et du temps consacré à chaque affaire. Cependant les nomothètes sont quand même tirés au sort dans l'ensemble des citoyens volontaires, ils ne constituent donc pas une limitation élitiste de la souveraineté du démos. Peines judiciaires et sanctions démocratiques à Athènes Les citoyens ne pouvaient pas, contrairement aux métèques ou aux esclaves, encourir la torture. Mais ils encouraient plusieurs peines judiciaires en cas d’infraction à la loi, ou des sanctions inhérentes aux institutions démocratiques Les citoyens peuvent subir des amendes financières ; Les citoyens ayant commis des délits mineurs avaient la maison peinte d'une couleur voyante pour susciter la honte du coupable et le mépris du voisinage[réf. nécessaire] ; Les citoyens pouvaient être démis de leur qualité par l'atimie, ce qui les privait de nombreux avantages ; L'ostracisme pouvait être voté par l'Ecclésia, il consistait généralement en un bannissement d'une durée de 10 ans ; Enfin, dans les cas exceptionnels, la peine de mort était appliquée, par exemple, par absorption de la ciguë que Socrate ou Théramène sont condamnés à boire[20]. Globalement, les citoyens étaient beaucoup mieux protégés par la loi que les non-citoyens ; en général le meurtre d'un citoyen était puni de la peine de mort tandis que le meurtre d'un métèque entraînait le bannissement. Les grandes crises de l'Empire Athénien guerre du Péloponnèse et coups d'État L'année -430 marque, avec la guerre du Péloponnese, le début du déclin d'Athènes. La désastreuse et longue lutte contre Sparte conjuguée à une épidémie de fièvre typhoïde, fatale pour Périclès en -429, ne sont que les premiers facteurs qui finalement conduiront à leur perte l'empire athénien et la cité désormais démoralisée et soumise aux démagogues. Après Périclès, les auteurs contemporains dont les ouvrages nous sont parvenus les historiens Thucydide puis Xénophon, le comique Aristophane, et plus tard au IVe siècle Platon, critiquent fortement la dérive démagogique de la démocratie athénienne. Pour Aristophane, qui critiqua notamment le passage à trois oboles du misthos sous Cléon dans sa pièce les Guêpes les pauvres, de plus en plus impliqués dans l'exercice du pouvoir, sont plus sensibles aux arguments des démagogues. La foule des citoyens prend des décisions qu'on analysera ultérieurement comme particulièrement injustes, un exemple souvent cité étant la condamnation à mort de Socrate[réf. nécessaire]. Il n'est donc pas étonnant que la critique intellectuelle de la démocratie apparaisse sous une forme particulièrement sévère, chez le principal disciple de Socrate Platon. Celui-ci hiérarchise dans la République les régimes politiques en plaçant la démocratie juste devant la tyrannie et derrière l'aristocratie, la timocratie, et l'oligarchie. Un premier coup renverse la démocratie au profit d'une éphémère tyrannie en -411, avec le coup d'État des Quatre-Cents. À la suite de la défaite finale d'Athènes contre Sparte à Aegos Potamoi, Sparte occupe Athènes et instaure en -404 un régime tyrannique avec les Trente tyrans ». Ceux-ci suppriment l'Héliée, restaurent les prérogatives passées de l'Aréopage, et relèguent l'Ecclésia à un simple rôle consultatif, s'assurant eux-mêmes les rênes du pouvoir. Ce régime, de plus en plus violent[20], ne survivra pas au départ de l'occupant spartiate au début de l’an -403. IVe siècle av. Périodes hellénistique et romaine Alexandre le Grand avait mené une coalition des États grecs à la guerre avec l'Empire perse en 336 av. mais ses soldats grecs étaient des otages pour le comportement de leurs États autant que des alliés. Ses relations avec Athènes étaient déjà tendues quand il retourna à Babylone en 324 av. Après sa mort 323 av. Athènes, qui a reconstitué ses finances et ses forces navales, et Sparte ont mené plusieurs États grecs à la guerre avec la Macédoine et ont perdu cette guerre. Athènes dut adopter un régime oligarchique protégé par une garnison macédonienne. Hypéride fut exécuté et Démosthène se suicida[21]. Ceci a abouti à un certain nombre de périodes au cours desquelles une force extérieure a commandé Athènes[22]. Souvent, le pouvoir extérieur mit en place un agent local en tant que gouverneur politique à Athènes. Mais quand Athènes était indépendante, elle fonctionnait sous sa forme de gouvernement traditionnel. Elle a rarement contrôlé toute l'Attique, puisque le Pirée est une excellente base navale, et un des rois hellénistiques habituellement la contrôlait. Même les gouverneurs, comme Démétrios de Phalère qui gouverna Athènes pour le compte de Cassandre entre 317 et 307 av. maintenaient les institutions traditionnelles formellement. L'Athènes indépendante était une puissance mineure à l'époque hellénistique. Elle eut rarement beaucoup à faire de la politique étrangère. Elle restait généralement en paix, alliée soit avec la dynastie des Ptolémées, ou plus tard, avec Rome. Quand elle fit la guerre, le résultat comme dans la guerre lamiaque, chrémonidéenne ou de Mithridate fut généralement désastreux. Notes et références ↑ Jacques Rancière La démocratie est née d’une limitation du pouvoir de la propriété » », sur 17 novembre 2007. ↑ Édouard Will, Le Monde grec et l'Orient, Le Ve siècle 510-403, PUF, 1972, p. 65, 102 et 421. ↑ Pierre Lévêque, L'Aventure grecque, Armand Colin, 1969, p. 186-187. ↑ Aristote, Constitution d'Athènes [détail des éditions] lire en ligne, VIII, 4. ↑ Pierre Lévêque, L'aventure grecque, Armand Colin, 1969, p. 188. ↑ Édouard Will, Le monde grec et l'Orient, Le Ve siècle 510-403, Presses Universitaires de France, 1972, p. 69 à 74. ↑ Édouard Will, Le Monde grec et l'Orient, Le Ve siècle 510-403, Presses Universitaires de France, 1972, p. 73-74. ↑ Aristote, Constitution d'Athènes [détail des éditions] lire en ligne, XXVII, 3-4. ↑ Édouard Will, Le Monde grec et l'Orient, Le Ve siècle 510-403, Presses Universitaires de France, 1972, p. 421. ↑ Édouard Will, Le Monde grec et l'Orient, Le Ve siècle 510-403, PUF, 1972, p. 421. ↑ Aristote, Constitution d'Athènes [détail des éditions] lire en ligne. ↑ Thucydide, La Guerre du Péloponnèse, VIII, 72. ↑ Édouard Will, Le Monde grec et l'Orient, Le Ve siècle 510-403, PUF, p. 450. ↑ Édouard Will, Le Monde grec et l'Orient, Le Ve siècle 510-403, PUF, 1972, p. 451-452. ↑ Yves Pepin, Ressemblances et différences La démocratie Athénienne et la République Romaine », sur ↑ Anastasia Colosimo, Démocratie 1/3 Démocratie et libéralisme, je t’aime moi non plus ? », sur France Culture, 24 décembre 2018 consulté le 25 décembre 2018 ↑ Édouard Will, Le Monde grec et l'Orient, Le Ve siècle 510-403, PUF, 1972, p. 454. ↑ Aristote, Constitution d'Athènes [détail des éditions] lire en ligne, LXIII et suiv. ↑ Robert Flacelière, La Vie quotidienne en Grèce au temps de Périclès, Hachette, 1971, p. 282-283. ↑ a et b Xénophon trad. Jean Hatzfeld, Helléniques, Les Belles Lettres, 1948. ↑ Édouard Will, Claude Mossé, Paul Goukowsky, Le Monde grec et l'Orient, Le IVe siècle et l'époque hellénistique, PUF, 1975, p. 352. ↑ De 322 à 318 ; de 317 à 307 ; de 266 à 229 Macédoine ; de 58 à 55 av. Rome. Voir aussi Bibliographie Moses Finley, Démocratie antique et démocratie moderne, Payot, coll. Petite bibliothèque », 2003 ISBN 2228897515 1re éd. 1973 Democracy, Ancient and Modern. Mogens Herman Hansen, La Démocratie athénienne à l'époque de Démosthène, Les Belles Lettres, coll. Histoire », 2003 ISBN 2251380248, 1re éd. 1991 The Athenian Democracy in the Age of Demosthenes. Bernard Manin, Principes du gouvernement représentatif 1re éd. 1995 [détail des éditions] présentation en ligne.. Pascal Morisod, D'Athènes à Berne, la voix du peuple… », dans Chronozones no 10 2004, Lausanne ISSN 1422-5247. Jacques Jouanna, Athènes et la démocratie », Comptes rendus des séances de l’Académmie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 155e année, no 4, 2011, p. 1659-1668 lire en ligne, consulté le 18 août 2020. Claude Mossé Histoire d'une démocratie Athènes. Des origines à la conquête macédonienne, Seuil, coll. Points Histoire », 1971 ISBN 2020006464, Politique et société en Grèce ancienne le modèle » athénien, Flammarion, coll. Champs », 2000 ISBN 2080814389. S. Price et O. Murray s. dir., La Cité grecque d'Homère à Alexandre, La Découverte, coll. Textes à l'appui », 1992 ISBN 2707121770. Jacqueline de Romilly Problèmes de la démocratie grecque, Herman, coll. Agora », 1998 ISBN 2705657819, 1re éd. 1975 L'Élan démocratique dans l'Athènes ancienne, Éditions De Fallois, 2005 ISBN 2877065561. Edmond Lévy, La Grèce au Ve siècle, de Clisthène à Socrate, Seuil, collection Points Histoire », 1995. en R. Sinclair, Democracy and Participation in Athens, Cambridge University Press, 1988 ISBN 0521423899. Cornelius Castoriadis, Ce qui fait la Grèce, tome 2 La cité et les lois, Seuil, coll. la couleur des idées, 2008 ISBN 9782020971416. Articles connexes Histoire de la Grèce antique Liens externes La citoyenneté à Athènes, dossier du projet Musagora de l'Educnet. Textes sur la société athénienne à l'époque classique. Textes sur la pensée politique grecque Naissance de la démocratie, Département des programmes éducatifs du Ministère hellénique de la Culture.
1 Le monde comme objet scientifique. L’invention des mathématiques en Grèce par les Présocratiques procède d’une vision du monde totalement différente de ce qu’elle était jusqu’alors. Ce n’est plus par les récits théogoniques qu’on appréhende le cosmos, mais par une approche scientifique : les premiers philosophes
La cité d'Athènes a entamé avec Dracon une difficile marche vers la démocratie mais il en est résulté de vives tensions entre les classes sociales. Elles vont être surmontées par les réformes de Solon... Solon, qui a vécu de 640 à 558 av. est né dans une famille d'Eupatrides il fait partie des gens bien nés », autrement dit des aristocrates mais pauvre. Ayant beaucoup voyagé, il a pu refaire sa fortune dans le commerce des huiles tout en restant foncièrement honnête. Ses voyages lui ont conféré une grande ouverture intellectuelle. Il est de surcroît poète et, comme tel, passe pour être inspiré par les dieux. Solon, arbitre social Solon est choisi comme arbitre par les différentes classes sociales de la ville d'Athènes et de sa région, l'Attique une presqu'île de la mer Égée grande comme le Luxembourg actuel. Quand il devient archonte gouvernant, en 594 av. la cité est au bord de l'explosion sociale. Les riches Eupatrides ont fini au fil du temps par acquérir la plus grande partie des terres de l'Attique. En s'appuyant sur les très sévères lois de Dracon, ils menacent de réduire en esclavage tous les paysans pauvres incapables de rembourser leurs dettes. Par ailleurs, le développement du commerce a favorisé l'éclosion d'une classe de marchands qui veulent participer au gouvernement de la cité mais en sont empêchés par les Eupatrides. Solon rétablit dans un premier temps la paix sociale en levant la menace de réduction en esclavage des paysans endettés par une mesure proprement révolutionnaire la sisachtie en grec, le soulagement d'un fardeau ». En d'autres termes, il abolit d'un coup toutes les dettes tant publiques que privées ! C'est l'équivalent de ce que les libéraux d'aujourd'hui appellent faillite ou banqueroute. L'effacement des dettes vu par Aristote Voici comment, trois siècles après, le savant Aristote raconte la sisachtie et l'établissement de la démocratie par Solon Devenu maître du pouvoir, Solon affranchit le peuple, en défendant que dans le présent et à l'avenir la personne du débiteur servît de gage. Il donna des lois et abolit toutes les dettes, tant privées que publiques. C'est la réforme qu'on appelle la délivrance du fardeau seis‹xyeia, par allusion à la charge qu'ils avaient comme rejetée de leurs a essayé d'attaquer Solon à ce sujet. Au moment en effet où il projetait l'abolition des dettes, il lui arriva d'en parler à l'avance à quelques-uns des nobles, et ses amis, selon la version des démocrates, firent, à l'encontre de ses projets, une manoeuvre, dont il aurait aussi profité, ajoutent ceux qui le veulent calomnier. Ils s'entendirent pour emprunter de l'argent et acheter beaucoup de terre, et l'abolition des dettes survenant presque aussitôt, ils firent fortune. Ce fut, dit-on, l'origine de ces fortunes que dans la suite on fit remonter à une si haute antiquité. Mais la version des démocrates est plus plausible ; l'autre n'a pas la vraisemblance pour elle comment un homme, qui fut si modéré et si attaché aux intérêts publics que, pouvant tourner les lois à son profit et établir sa tyrannie dans la ville, il s'attira plutôt la haine de l'un et de l'autre parti, mettant l'honneur et le salut de la cité au-dessus de ses propres intérêts, se serait-il sali à d'aussi petites et aussi indignes opérations ? » Aristote, Constitution d'Athènes. Solon étend aussi la notion d'héritage aux filles et à leurs enfants, même naturels. Il a surtout l'idée de répartir les citoyens en quatre classes censitaires, selon leur niveau de richesse pentacosiomédimnes, chevaliers, zeugites et thètes. Il reprend ce faisant la division antique en trois classes mais y ajoute une quatrième classe, celle des paysans pauvres, autrefois privés de toute représentation publique Les citoyens les plus riches les pentacosiomédimnes » ont davantage de droits que les autres. Ils participent aux choix politiques et prennent part aux fêtes civiques. Mais ils doivent aussi financer les services publics, les liturgies du grec leitos, public, et ergos, oeuvre. Ils doivent également servir dans l'armée comme cavaliers, marins ou hoplites c'est-à-dire soldats à pied. Les citoyens de la quatrième classe, les paysans sans terre les thètes », sont exemptés d'impôts et dispensés de servir dans l'armée. Solon, père de la première Constitution Solon met par écrit les principes de gouvernement de la cité. L'ensemble de ces principes dessine une Constitution dont le texte est gravé dans le marbre. Il reprend les institutions anciennes en les amendant sensiblement. - L'assemblée de l'Ecclesia L'ensemble des citoyens est appelé à se réunir au moins quatre fois par mois sur la colline du Pnyx. Il forme l'Ecclésia assemblée en grec, un mot que nous retrouvons dans ecclésiastique et... Église. L'assemblée débat et vote à main levée les lois et les déclarations de guerre. Tous les ans, elle élit les stratèges ainsi que les neuf archontes en charge du gouvernement de la cité. Elle tire aussi au sort les magistrats parmi des volontaires de la classe la plus riche le volontariat limite le risque d'incompétence. Cette prérogative est enlevée par Solon à l'Aréopage, vieille assemblée oligarchique, principalement composée des anciens archontes. - Le tribunal de l'Héliée L'Ecclésia tire également au sort parmi l'ensemble des citoyens, y compris les plus pauvres, les membres du nouveau tribunal populaire mis en place par Solon l'Héliée. Il traite en appel les décisions des tribunaux aristocratiques, ce qui limite l'arbitraire de ceux-ci. La Constitution de Solon, bien que généreuse, intelligente et équilibrée, mécontente beaucoup de monde. Il est vrai qu'elle laisse de côté l'immense majorité de la population athénienne citoyens pauvres, étrangers métèques et esclaves, sans parler des femmes, interdites d'expression publique et soumises à leur père ou mari. Passage obligé par la tyrannie Comme dans les autres cités grecques, quand un législateur n'arrive pas à convaincre les citoyens de l'utilité de ses réformes et que la guerre civile menace de revenir, un tyran s'empare de tous les pouvoirs. Le mot tyran vient du grec turannos qui signifie maître ». C'est ainsi qu'à Athènes, le tyran Pisistrate poursuit l'oeuvre du grand législateur Solon. Il tranche les conflits en faveur du peuple. Il impose le partage des terres. Il permet aux habitants les plus pauvres d'être mieux écoutés dans l'assemblée. Tyran de 535 à 528 av. il ne laisse que de bons souvenirs ou presque aux Athéniens. Mais ses fils Hipparque et Hippias, qui lui succèdent, montrent moins d'habileté et plus de cruauté que leur père. Hipparque est tué au cours d'une rixe en 514 av. et son frère est chassé du pouvoir par Clisthène, chef du parti populaire, quatre ans plus tard, à la faveur d'un soulèvement populaire. L'aristocrate Clisthène consolide la démocratie Clisthène est issu de l'illustre famille des Alcméonides et petit-fils du tyran de la cité de Sicyone. Cet aristocrate ne va pas moins remodeler la Constitution de Solon et instaurer enfin à Athènes, en quatre ans, de 507 à 501 av. une démocratie pleine et entière, la première en son genre à ce détail près que n'y ont accès qu'une minorité des habitants, à l'exclusion des esclaves et des métèques - immigrés et affranchis. Pour saper la puissance de l'aristocratie, Clisthène a l'idée de diviser Athènes et sa région, l'Attique, en une centaine de circonscriptions territoriales, les dèmes. Puis, aux quatre tribus anciennes, il en substitue dix nouvelles, les phylai, chacune étant constituée de trois régions ou trytties, non contigües, l'une dans la ville d'Athènes proprement dite, l'autre dans l'intérieur des terres, la troisième sur la côte. Les citoyens de toutes les couches sociales et de toutes les parties de la cité ville, intérieur des terres, côte sont ainsi représentés dans chaque tribu et doivent apprendre à vivre et travailler ensemble. Fabienne Manière Publié ou mis à jour le 2022-02-02 145240
Motde passe. Mot de passe oublié ? Afficher ou masquer le menu Menu. Accueil. Ressources. Parcours Chercheurs. Services. Recherche avancée.
Université d’Angers Sionneau, Sylvain, Les médecines illégales et les médecines populaires en France au xixe siècle, avec l’exemple du Maine et Loire, dir. Y. Denéchère. Scutaru, Béatrice, Les relations entre les sociétés roumaine et française Conditions et perspectives de l’ancrage de la Roumanie à l’Europe années 1960 à 1990, dir. Y. Denéchère, co-direction Platon. Master 2 Allain, Florence, Histoire et histoire du genre dans la musique Metal de 1970 à nos jours, dir. E. Pierre. Baudin, Alexis, La promotion de l’agriculture biologique selon la méthode Lemaire-Boucher, à travers l’étude du mensuel Agriculture et Vie, 1964-1972, dir. Y. Denéchère Caillard, Raphaël, Représentations des veuves de la Grande Guerre à l’écran 1926-2009, dir. Y. Denéchère. Dion, Cécile, Les élèves des classes élémentaires du lycée David d’Angers 1802-1902, dir. E. Pierre. Godet, Antoine, La symbolique nazie vue par les diplomates français à Berlin 1926-1939, dir. Y. Denéchère. Guermond, Valentin, La représentation de la jeunesse délinquante dans le cinéma français depuis le régime de Vichy jusqu’à aujourd’hui, dir. E. Pierre. Jeanneteau, Corentin, Étude de la presse choletaise et saumuroise Le traitement de l’information sous l’angle de la séparation des Églises et de l’État décembre 1905-décembre 1906, dir. E. Pierre. Porée, Lydie, Contraception, avortement les mobilisations à Rennes pour la liberté de procréer. Histoire et mémoire des groupes locaux du Planning familial, de Choisir et du MLAC 1965-1975, dir. C. Bard. Rivière, Marine, Évolution de l’association de Sauvegarde de l’Enfance et de l’Adolescence de Maine et Loire 1946-1960, dir. E. Pierre. Wandriesse, Stéphane, Rustica, une revue pour mieux vivre, 1928-1949, dir. Y. Denéchère, co-encadrement C. Oghina-Pavie. Arial, Corentin, Les colons des Antilles réfugiés en France. Accueil, intégration et assistance 1791-1814, dir. F. Brizay. Le Guiniec, Emilie, L’Entreprise d’Écosse d’après la correspondance de Nathaniel Hooke l’élaboration d’une nouvelle alliance entre la France et les Jacobites 1702-1708, dir. F. Brizay. Bouyer, Jacques-Joseph, Louis Ier d’Anjou 1339-1384, d’après les sources narratives de son temps, dir. Matz. Kré, Okpobé Henriette, Anthroponymie hispanique le cas du monastère de Celanova 842-1165, dir. T. Deswarte. Tardivel, Chloé, La confrérie Saint-Nicolas dite des bourgeois d’Angers » d’après son cartulaire 1519-1560, Dir. Matz. Trouvé, William, De la pertinence d’un genre historiographique appelé laterculus. L’exemple de trois listes royales du Haut Moyen Âge ibérique ve-xiie siècles, dir. T. Deswarte. Blot, Mathilde, Étude de la condition féminine, Égypte Hellénistique, 270-220 av. dir. Carrez-Maratray. Université de Bretagne occidentale Brest Thèses Hermelin, Christiane, Les bannières religieuses. Une approche du catholicisme bas breton 1805-2012, dir. Y. Tranvouez. Marton, Andras, Le rite funéraire en Pannonie de l’époque augustéenne au iiie siècle en comparaison avec les provinces occidentales, dir. P. Galliou. Masters Collobert, Charles, Les gestes de la gladiature sur les reliefs romains, du iiie siècle av. au ive siècle apr. dir. V. Huet. Desjars, Alexandra, Spered ar vro », l’identité bretonne revue et corrigée à travers la chronique en langue bretonne du Télégramme 2002-2012, dir. Y. Tranvouez. Fustec, Marie-Noelle, Le paysage urbain de Guerlesquin, ville-place sous l’Ancien Régime, dir. P. Jarnoux. Gérard, Morgane, La création architecturale en Bretagne à la fin du Moyen Âge l’exemple de Saint Sauveur et Saint Malo de Dinan, dir. Y. Gallet. Jacopin, Romuald, La bandera Jeanne d’Arc des volontaires francophones au service de Franco, dir. F. Bouthillon. Kerlirzin, Fabrice, Les origines de la ville de Saint-Pol-de-Léon, dir. V. Huet. Le Menedeu, Étienne, Les représentations des sentiments, des valeurs et des caractères des belligérants durant les Guerres puniques par les auteurs anciens, dir. V. Huet. Louedoc, Cédric, Cultes et particularismes religieux dans l’Égype hellénistique. Acceptation, continuité et résistance. 324-186 av. dir. V. Huet. Rocha Faria, Maria Adelaïde, Amadeo de Souza Cardoso à Paris 1906-1914 une création picturale sous influences, dir. S. Descat. Sailly, Marjorie, Les officiers de plume » en la ville de Brest 1669-1770, dir. P. Jarnoux. Séchet Strouff, Véronique, Le livre d’heures de Pierre II, Duc de Bretagne BnF, ms. Latin 1159, dir. Y. Gallet. Tolentin, Nicolas, Dieux des mers, Dieux de violence Étude littéraire et iconographique du viie au ive siècle avant notre ère, dir. V. Huet. Université de La Rochelle Thèses histoire et histoire du droit Martin, Nicolas, De la Chambre de commerce de La Rochelle aux bureaux de Versailles, les relations commerciales entre droit romain et Europe du Nord au xviiie siècle, dir. J. Bouineau. Riaudel, Michel, Transferts et circulations France-Brésil xvie-xxe siècles. Traduction, littérature, histoire, dir. L. Vidal. Master 2 Goupil, Tony, L’Océan selon Claude Duret, la Mer vue par un juriste, dir. D. Poton. Lavault, Lucas, François Furet le deuil de l’idée révolutionnaire à l’aune de la démocratie libérale, dir. T. Villerbu. Pajot, Augustin, Nucléaire civil, histoire d’une lutte entre opposants et pouvoirs publics et industriels dans la société française des années 70 à 2000, dir. T. Villerbu. Cocu, Jeanne-Marie, la fin du Moyen Âge français, xiiie-xve siècles, dir. P. Prétou. Lagana, Giada, Irlande du Nord. L’Observatore romano porte-parole du Saint Siège, dir. D. Poton. Université du Maine Le Mans Thèses Brilland, Xavier,Mgr François-Gaspard de Jouffroy-Gonssans, évêque zélé des Lumières face à la Révolution 1721-1799, dir. F. Pitou et B. Waché. Elias, Amin, Michel Asmar et le Cénacle Libanais » contribution historique à l’étude d’un phénomène de convergence culturelle dans l’espace méditerranéen 1946-1975, dir. D. Avon, cotutelle avec K. Rizk Usek, Liban. Lunel, Frédéric, Roger Braun 1910-1981. Engagement philosémite et recours aux étrangers, dir. D. Avon et Lardic Université de Nantes. Master 1 Barbier, Noémie, Le chemin de fer en Sarthe 1850-1974 histoire et valorisation patrimoniale, dir. H. Guillemain. Bernot, Tatiana, Édition commentée des registres de délibérations municipales du Mans 1773-1775, dir. S. Granger. Blondeau, Kevin, L’affaire Ben Barka réactions, mobilisations et répercussions immédiates d’une affaire d’Etat, dir. D. Avon. Bouillon, Charlotte, Sénèque et la mort, dir. A. Allély. Boulay, Tiphaine, L’expression de l’intérêt scientifique à travers la peinture européenne, dir. C. Michon. Chevrier-Gros, Claire, Ibn Rushd, un intellectuel musulman en Al-Andalus au xiie siècle, dir. E. Johans. Damiens, Vincent, La Fayette et le secret du Roi, dir. F. Pitou. Delauné, Coralie, Élisabeth d’Angleterre d’après ses contemporains l’opinion d’auteurs français sur la dernière des Tudors, dir. H. Daussy. Esnault, Bérengère, Une enquête seigneuriale en 1409, dir. V. Corriol. Fosse, François-Alexandre, La batellerie portuaire en Méditerranée occidentale à l’époque romaine, dir. E. Nantet. Fromy, Ulrich, Manoir de Rouessé, dir. F. Pitou. Lagarrigue, Manuella, Les tournois médiévaux entre activité guerrière et sportive, premier sport équestre collectif » en Occident, dir. G. Baury. Lelasseux, Amandine, La ville de Rome sous le second Triumvirat, dir. E. Bertrand. Machetel, Corinne, Madame de Prie et la cour de Louis XV, dir. H. Daussy. Massot, Hélène, Le culte d’Apollon en Gaule d’après les textes et les représentations, dir. R. Soussignan. Ménage, Théotime, Le PCF sarthois dans la vie politique et les luttes sociales au Mans 1945-1967, dir. D. Avon. Milcent, Myriam, La valorisation patrimoniale des manoirs du Perche ornais de la fin du xixe siècle à nos jours, dir. N. Richard. Raviart épouse Gaine, Hélène, La bijouterie au cœur de l’histoire industrielle des Boutières, un patrimoine à sauvegarder, dir. H. Guillemain. Ropa, Erika, Pureté de sang origines, mentalités et évolutions dans la Castille du xve siècle, dir. G. Baury. Sarelot-Fouquet, Matthieu, Le super-héros américain et ses valeurs étude de l’évolution du patriotisme à travers la figure de Batman de 1939 à 2012, dir. D. Avon. Master 2 Beckert, Guillaume, André Estienne dit Le Tambour d’Arcole ». De l’homme au héros, dir. S. Tison. Brugaro, Maureen, Entre gloire et fortune, les messieurs de Cancale, dir. S. Granger. Canton, Céline, La Grande Guerre dans l’imaginaire contemporain l’exemple de la bande dessinée des années 2000-2010, dir. S. Tison. Clérot, Emmanuelle, L’émancipation des femmes en Iran, de la révolte anti-Shah aux manifestations anti-Ahmadinejad 1978-2009, dir. D. Avon. Davin, Denise, Projet pour la valorisation des stèles funéraires Gallo-romaines de la Horgne au Sablon, Metz, cité des Médiomatriques, dir. E. Bertrand. Echivard, Jérôme, François Ier vu par Voltaire à travers sa correspondance, dir. H. Daussy. Guimoneau, Aurore, Les portraits de famille des xviie et xviiie siècles, dir. H. Daussy. Hébert, Delphine, Médecine, administration montpelliéraine et Réforme au temps des guerres de religion 1559-1598, dir. H. Daussy. Lecler, Amandine, Histoire des assemblées politiques des réformés français pendant les guerres de religion. Les exemples des assemblées de Montauban 1581 et de Saint-Jean-d’Angély 1582, dir. H. Daussy. Lecoq épouse Longin, La représentation du diable au Moyen-Âge en Occident xiie-xviie siècle, dir. V. Corriol. Naud, Amandine, La destruction du collège de médecine de Lyon 1768 retour sur une émeute, dir. H. Guillemain. Passard-Valot, Tristan, Raoul Hausmann, peintre et photomonteur, dir. I. Jablonka. Peschard, François, L’histoire moderne au travers du 7e et 8e art, dir. C. Michon. Polpré, Léa, La représentation de l’enfant au naturel, dir. C. Michon. Ransac, Patricia, Expériences et représentations saintongeaises de la Grande Guerre, dir. S. Tison. Théron, Laura, La femme grecque dans le mariage à travers l’œuvre de Xénophon, ive siècle avant dir. A. Avram. Vachot, Marc, Compréhension d’un réseau clunisien rural. Sa composition, sa gestion, ses rapports avec le clergé approche historique de l’Ecclesia cluniacensis aux xie, xiie, xiiie et xive siècles au travers des prieurés des actuels diocèses d’Angoulême et de Périgueux, dir. G. Baury. Université de Bretagne Sud Lorient Thèses Kimizuka, Hiro Yasu, Les relations de cabotage entre le complexe portuaire Bordelais et la Bretagne au xviiie siècle, dir. G. Le Bouedec. Margoline-Plot, Eugénie, La Bretagne et la culture asiatique au xviiie siècle, dir. G. Le Bouedec. Masters Charrier, Laure, La construction navale à Lorient de 1704 à 1706, dir. P. Hrodej. Goupil, Kevin, Une théocratie cléricale sur les îles de Houat et Hoëdic, dir. F. Ploux. Le Goff, Yann, La correspondance de Claude-Charles de Marillac, vicomte de Damas, gouverneur des îles-du-Vent les problèmes de l’armée aux petites Antilles 1783-1789, dir. P. Hrodej. Lemoing, Lambert, La marine dans la presse communiste sous le Front populaire, dir. Bruneau. Lucas, Damien, Le Morbihan en 1848 élections municipales, usage du suffrage universel et apprentissage politique, dir. F. Ploux. Maricourt, Mathilde, Économie des produits de la ruche en Bretagne 1715-1820, dir. S. Llinares. Olivier Jegat, Édern, Gestion et logistique des stations navales dans les Antilles de 1783 à 1789, dir. S. Llinares. Université de Nantes Thèses Bouron, Jean-Marie, Évangélisation parallèle et configurations croisées. Histoire comparative de la christianisation du Centre-Volta et du Nord-Ghana 1945-1960, dir. B. Salvaing. Libouthet-Fromentin, Marion, Le Tibet dans les relations internationales 1950-2005, dir. J. Weber. Mekaeel, Saeed, Le pays de Barqa depuis la conquête arabe à la fin de l’époque fatimide Etude politique, économique et sociale 642-1171, dir. J. Tolan. Ventroux, Olivier, Les élites politiques et sociales de Pergame, recherches sur les couches dirigeantes d’une ancienne capitale royale à l’époque romaine 133 av. apr. C., dir. E. Guerber. Master 1 déposés à la bibliothèque Paul-Bois Bodin, Mathilde, Les paides amphithaleis dans le monde grec ancien, dir. J. Wilgaux. Breton, Cosette, La Controverse autour de l’excommunication au xvie siècle, et particulièrement sous le règne de Henri IV, dir. Y. Lignereux. Caille, Charles-Emmanuel, L’usage du feu dans les guerres hellénistiques, dir. I. Pimouguet-Pedarros. Costantini, Camille, L’impérialisme des droits de l’homme face à la Chine, dir. Klein. Cremades, Jean, Romeet la mer. Des origines à la première guerre punique, dir. T. Piel. Da Silva Barbosa Auridète, Étude sur la figuration d’Achille représentation, réception et diffusion du mythe grec en Étrurie archaïque viie-ve siècles, dir. T. Piel. Daniel, Jacques, Louis-Jacques-Marie Bizeul 1785-1861, un notable érudit à la naissance de l’archéologie dans l’Ouest armoricain, dir. B. Joly. Girard, Medhi, Le Consulat de Commerce de Buenos Aires 1794-1821. L’élite portena et la diffusion des idées des Lumières, dir. C. Thibaud. Guyot, Jean-Paul, La monnaie à Rhodes au temps des chevaliers, un témoin de l’activité économique de l’île, dir. P. Josserand. Guet, Régis, Les éléphants et les chars à faux dans les guerres hellénistiques, dir. I. Pimouguet-Pedarros. Hegron, Bastien, L’Accord de Libre Echange d’Amérique du Nord vu par la presse mexicaine juin 1990 à décembre 1992, dir. M. Catala. Martin, Léa, Les Einsatzgruppen et la genèse de la Solution finale » en Union Soviétique 1941-1945 Etude plus précise du cas de la Galicie, dir. M. Catala Nevou, Morgane, La perception du milieu naturel de la méditerranée orientale par les voyageurs arabes entre le ixe siècle et le xive siècle, dir. N. Drocourt. Noridal, Yann, La ligue des jeunesses patriotes à Nantes et en Loire-Inférieure dans les années 1920 1924-1932, dir. B. Joly. Sauriau, François, Les relations diplomatiques entre la monarchie de Juillet et le Saint-Siège du point de vue des ambassadeurs, dir. B. Joly. Soret, Mathilde, la diplomatie des Comnènes, dir. N. Drocourt. Thomas, Cécile, Le culte d’Arès en Grèce ancienne, dir. J. Wilgaux. Master 2 déposés à la bibliothèque Paul-Bois Aoustin, Chloé, Le Recueil des plus illustres proverbes de jacques Lagniet Paris, 1663, le proverbe, l’estampe et le rire entre sujets traditionnels et guerre des sexes, dir. Y. Lignereux Athimon, Emmanuelle, Les dérèglements du temps et leurs Impacts en Anjou, Poitou et Bretagne méridionale début xive-xve, dir. Sarrazin. Bihan, Armel, La Franc-Maçonnerie à Nantes pendant la révolution française 1789-1799, dir. M. Acerra. Boivin, Julie, L’activité corsaire nantaise pendant la Révolution 1793-1799, dir. D. Plouviez. Bouchet, Gauthier, Les élections législatives de 1876 et 1877 dans le département de la Loire-Inférieure, dir. B. Joly. Delière, Thomas, La représentation de l’Islam chez Guillaume de Tyr et ses continuateurs, dir. J. Tolan. Even, Simon, Rome et les constantiniens, présences et évergésies impériales 293-363, dir. T. Piel. Fafoutakis, Eugénie, Hagiographie et calamités naturelles, Époque médio-byzantine viie-xiie siècles, dir. N. Drocourt. Guillon, Mathilde, L’œuvre poétique de Michel de La Vallée du Maine. Une expérience de l’engagement ligueur 1589-1592, dir. Y. Lignereux. Hatchikian, Stéphanie, Les massacres arméniens de 1894-4896 à travers les archives diplomatiques et la presse française, dir. B. Joly. Martin, Aurore, Les saint-simoniennes théories et pratiques de l’émancipation à l’épreuve dans les années 1830, dir. C. Thibaud. Moysan, Charlotte, Meurtre[s] en famille, réflexions sur la culpabilité à partir des murders pamphlets et des canards français dans la première moitié du xviie siècle, dir. E. Schnakenbourg Petitfils, Aurélien, La présence sioniste au Liban-Sud 1941-1948, dir. B. Salvaing. Schirm, Emilien, Diplomatie et théorie de la neutralité la France et la Prusse face à la guerre d’Indépendance américaine 1778-1783, dir. Y. Lignereux. Université de Poitiers Thèses Alahmad, Munier, La politique linguistique française en Syrie sous mandat français de 1920 à 1946, dir. J. Grévy. Courroux, Pierre, L’écriture de l’histoire dans les chroniques en langue française xiie-xve siècles. Histoire, fiction, vérité les critères de l’historicité médiévale, dir. E. Bozoky. Fournier, campodarne-puente Caroline, Femmes d’encre et de chair. La criminalité féminine au xixe siècle l’exemple de la Charente-Inférieure, 1832-1914, dir. F. Chauvaud. Masters Baudry, Stéphane, La deuxième circonscription de la Vienne à l’épreuve de l’union de la gauche retour sur l’élection législative partielle de 1975, dir. G. Bourgeois. Benaissa Julie, Pour une histoire comparative des corsaires français et des privateers anglais dans la Manche pendant la guerre d’indépendance américaine, dir. J. Peret. Billaudeau Vincent, Le culte d’Artémis en Béotie et en Phocide, dir. Y. Lafond. Bion Bernard, Violence en Vienne viols, infanticides et homicides aux assises au xixe siècle, 1881-1901, dir. F. Chauvaud. Bonnin, Audrey, Le Marseillais » devenu Le Vengeur du Peuple » trajectoire d’un vaisseau de l’Ancien Régime à la Première République, dir. J. Peret. Bouchard, Vincent, Construction et évolution du corps humain dans les traités médicaux en Grèce classique, dir. L. Bodiou. Dutscher, Marie-Claude, Recherche sur les cultes dans les cités d’Anatolie méridionale Ionie, Carie d’après le livre xiv de Strabon, dir. Y. Lafond. Efremova, Yulia, L’histoire de la mort aux xie-xiie siècles historiographie, état des sources et perspectives, dir. C. Treffort. Four, Camille, Les étudiants à Poitiers étude de la vie estudiantine à partir des archives judiciaires du présidial 1678-1789, dir. F. Vigier. Fournier, Elie, Invention d’une République en Révolution, entre guerres, progrès et conflits. La société des Amis de la Liberté et de l’Égalité de Châtellerault 1er octobre 1792-20 brumaire an II, dir. A. Jollet. Girard, Pierre, La cruauté guerrière en Espagne napoléonienne. Les représentations de la violence dans les mémoires de soldats napoléoniens, dir. G. Malandain. Giret, Amélie, Pour l’écriture d’une histoire maritime de l’Acadie française sources et ressources, dir. T. Sauzeau. Huet, Laura, L’activité économique en Acadie et le contexte colonial atlantique un marché lucratif lié au cabotage acadien 1667-1775 ?, dir. T. Sauzeau. Jayat, Cindy, Du féminin dans la guerre sainte ? Les femmes dans les récits historiques de croisade du concile de Clermont à la mort de Louis IX, dir. M. Soria. Larose, Julia-Pauline, Le suffragisme au village. Les groupes locaux de l’Union pour le Suffrage des Femmes dans le Centre-Ouest de l’Entre-deux-guerres, dir. F. Dubasque. Maouchi, Pauline, Les Césars enfants au iiie siècle, dir. N. Tran. Menin, Jérémie, Conseillères générales et conseillères régionales de la Vienne de 1982 à nos jours, dir. F. Dubasque. Payement, Amandine, Le Maroc en bleu et vert. Les guides touristiques historiques au Pays du Couchant », dir. F. Chauvaud. Pichot, Charlotte, Avortement et infanticide au Moyen-Âge, dir. M. Soria. Portron, Benjamin, Les pratiques héraldiques des seigneurs poitevins aux xiiie-xive siècles, dir. L. Hablot. Privat, Julien, Étude d’un programme radiophonique particulier une émission historique, la Marche de l’Histoire », dir. F. Chauvaud. Thibault, Juliette, Les débuts de l’amour courtois entre Lancelot et Gunièvre, Tristan et Yseut dans les miniatures arthuriennes, dir. M. Aurell. Vitry, Pauline, La romanisation en Arménie de la mort de Tigrane II au traité de Rhandeia 53 av. apr. dir. Y. Lafond. Université de Rennes 2 Thèses Bachelier, Julien, Villes et villages de Haute-Bretagne les réseaux de peuplement xie-xiiie siècles, dir. D. Pichot Dreyer, Jean-François, Espace et territoires ruraux en Cornouaille bretonne à la fin du Moyen Âge et au début de l’époque moderne 15e-16e siècles, dir. A. Antoine. Jollivet, Lucie, Les humanistes français face aux crises du début du xve siècle, dir. de Cevins. Le Foll-Luciani, Pierre-Jean, Les juifs algériens anticolonialistes. Etude biographique Entre-deux-guerres-1965, dir. V. Joly. Milquet, Sophie, Écrire le traumatisme. Mémoire féminine dans les fictions sur la guerre civile espagnole représentations, formes, enjeux 1975-2010, cotutelle L. Capdevila, M. Frédéric Université Libre de Bruxelles. Trojan, Claire, L’intégration sociale des réfugiés et expulsés allemands en Saxe 1945-1953, dir. J. Sainclivier. Masters déposés à la bibliothèque du CREAAH Bernard, Thomas, Les édifices cultuels gallo-romains en contexte d’habitat rural isolé découverts en Bretagne, dir. F. Colleoni master 1. Briand, Solène, La céramique d’impasto du Secteur 4 de l’Incoronata greca, dir. M. Denti master 2. David, Tristan, Les villae dans les cités des Coriosolites et des Vénètes analyse topographique, architecturale et chronologique, dir. F. Colleoni master 2. Facchinetti, Sébastien, Étude du mobilier métallique du sanctuaire de l’agglomération secondaire de Oisseau-le-Petit Sarthe, dir. F. Colleoni master 1. Guillon, Marie, Les briques d’Incoronata dans l’horizon méditerranéen de l’Age du Fer. Techniques de production et contextes d’utilisation, dir. M. Denti master 2. Manthey, Yohan, Production de sel et établissements de salaison en Armorique à la période gallo-romaine, dir. F. Colleoni master 1. Martin, Margot, État de la recherche sur les stations routières en Gaule romaine, dir. F. Colleoni master 1. Tirel, Melissa, Les pratiques funéraires de l’immature 0-6/7 ans du ier siècle après au ive siècle après en Gaule romaine, dir. F. Colleoni master 1. Masters déposés à la bibliothèque du CERHIO Bernard, Marion, La défense de la ville de Paysandú événements et mémoire, dir. L. Capdevila. Bignon, François, La guerre du protocole le conflit péruano-équatorien de 1941 et son règlement diplomatique, dir. L. Capdevila. Bourges, Thomas, Les villes du centre Bretagne pendant les guerres de la Ligue 1589-1598 l’axe Redon-Carhaix, un espace trop oublié dans les études du conflit, dir. P. Hamon. Bourseau, Noélie, Les jeunes à l’épreuve de l’épuration judiciaire en Ille-et-Vilaine, dir. M. Bergère. Buguet, Maud, L’insurrection de Pâques 1916 à Dublin entre continuité et accélération de l’affirmation de la nation irlandaise, dir. J. Sainclivier. Danino, Aude, La Biblioteca América de Saint Jacques de Compostelle temple de l’ hispano-américanisme », dir. L. Capdevila. Dutheil, Lucie, La place Sainte-Anne, dir. G. Aubert. Elouariachi, Hafid, Les relations économiques franco-argentines de 1945 à 1951, dir. L. Capdevila. Eugène, Matthieu, La réécriture des actes diplomatiques des prieurés bretons dépendant de l’abbaye de Marmoutier xie-xiiie siècle, dir. F. Mazel. Fichou, Hélène, Une approche du voyage des élites, en Europe au xviiie siècle le Prince de Ligne voyageur, dir. E. Sablayrolles. Fontaine, Jérémy, La mission militaire française au Paraguay 1926-1931, dir. L. Capdevila. Gautier, Lucie, Le peuple de la Révolution française représenté par l’élite du xixe siècle figures, fantasmes et constructions romanesques, dir. D. Godineau. Glais, Emmanuel, Le jeu des puissances à travers les communautés chrétiennes et les transformations économiques deux aspects du déficit d’indépendance de l’Empire ottoman pendant la question des Lieux saints dans le Journal de Constantinople 1851-1854, dir. V. Joly. Gouritin, Antoine, Actualité de la guerre de mémoire vendéenne entre histoire, mémoires, politiques culturelles et manipulation médiatique, dir. J. Sainclivier. Gourmelon, Lisa, La stalinisation tchécoslovaque un point de vue français 1948-1952, dir. E. Droit. Hamard, Mélanie, L’habillement au xiie siècle au travers de l’iconographie des Pays de la Loire, dir. E. Grélois. Jaouannet, Agathe, Destin d’une figure révolutionnaire les usages politiques de la légende d’Auguste Blanqui. De l’Histoire au sein du Parti communiste français xixe-xxe siècles, dir. P. Harismendy. Kerleau, Lucie, Conflits et relations familiales à partir de factums rennais pendant la seconde moitié du xviiie siècle, dir. E. Sablayrolles. Le Duc, Léa, Le premier choc pétrolier de 1973 la perception d’une crise à travers la presse française et allemande, dir. E. Droit. Le Gac, Morvan, Les interfaces à Belfast influences et incidences sur la classe populaire, dir. Y. Bévant. Le Goupil, Delphine, La noblesse féminine face aux évolutions sociales et vestimentaires, au travers du portrait français, aux xvie et xviie siècles, dir. Lethuillier. Lebedel, Lucie, La perception de la famille dans les Grandes chroniques de Bretaigne » d’Alain Bouchart, dir. F. Mazel. Lehugeur, Aurélie, L’histoire antique en peinture dans la France moderne 1560-1720, dir. H. Fernoux et P. Hamon. Leseigneur, Quentin, Les violences dans les grèves en Ille-et-Vilaine de 1819 à 1914 modalités d’actions ouvrières et attitude étatique, dir. P. Karila-Cohen. Lintanf, Virginie, Les médecins en Ille-et-Vilaine durant les années 1930-1940, dir. M. Bergère. Loko, Fabiola, La propagande du régime de Vichy la mise en oeuvre d’une politique en Ille-et-Vilaine 10 juillet 1940-5 juillet 1944, dir. M. Bergère. Malle, Franceska, L’Association France-URSS et les jumelages franco-soviétiques des années 1950 à 1992, dir. M. Tissier. Meslé, Pierre, Politique américaine comparée des administrations Nixon, Ford et Carter en Afrique australe de 1969 à 1981 d’une politique de la Guerre Froide à une politique de décolonisation, dir. V. Joly. Messager, Lucie, Être acteur aux Etats de Bretagne sous Louis XIV 1661-1713, dir. G. Aubert. Meyniel, Gwendoline, Œuvrer pour le corps social entre la science et le politique, les travaux du médecin rennais Adolphe Toulmouche Nantes, 1798 - Rennes 1876, dir. P. Karila-Cohen. Mouchel-Vallon, Corentin, La réinsertion de guérilleros dans la vie politique légale le cas du Movimiento de Liberación Nacional - Tupamaros en Uruguay, dir. L. Capdevila. Norgeot, Aurélien, Adoration des Mages, Adoration du Roi la figure du roi dans la représentation de l’Adoration des Mages fin xve siècle-début xviie siècle, dir. P. Hamon. Planté, Romain, Propager la foi catholique et la grandeur du roi en Orient des capucins bretons et tourangeaux en terre d’Islam. Conditions de vie des missionnaires et interactions avec les populations locales, dir. G. Provost. Poilpré, Jean-Marc, City editors, bulletiniers et reporters face au krach de Baring de 1890, dir. P. Harismendy. Poirier, Antoine, Diable, monstres et Révolution étude de l’image du diable et des monstres dans l’iconographie de la Révolution Française, dir. D. Godineau. Pollet-Villard, Mélissa, De la renaissance des chats au punk celtique les movidas en Espagne à travers l’oeil de la caméra, dir. L. Capdevila. Ravary, Sophie, Les pratiques de l’écrit de l’abbaye Saint-Vincent du Mans xiie-xiiie siècles, dir. F. Mazel. Ruen, Pauline, La Bretagne en 1588, dir. P. Hamon. Université de Tours Thèses Mélisson, Céline, Procurer la paix, le repos et l’abondance. Les officiers de plume de l’Amérique française entre 1669 et 1765, dir. M. Vergé-Franceschi. Masters Beaulieu, Théo, Inventaire des maisons à pans de bois des rues du Val et de la Friperie à Provins, dir. F. Epaud master 1. Belloire, Violaine, Les fléaux dans les campagnes de la généralité de Tours au xviiie siècle, dir. U. Krampl master 1. Borselle, Tony, Les magistrats de la cour d’appel de Bourges 1800-1830, dir. Largeaud master 2. Chevrollier-Aissaoui, Leïla, L’alimentation du clergé à l’époque moderne. Le cas du Grand Séminaire de Rennes, à travers le registre de son cuisinier 1741-1755, co-dir. Lethuillier université Rennes 2 et F. Quellier master 2. Clairon, Priscille, Le traumatisme de l’année 1940 en Eure-et-Loir 12 mars 1938-2 novembre 1940, dir. R. Beck master 2. Coste, Arthur, La collaboration en Indre-et-Loire de 1940 à 1944, dir. R. Beck master 2. Dejou, Josselin, Les notables de la ville d’Amboise et leurs relations avec les officiers royaux sous le règne de Louis XI, dir. D. Boisseuil master 1. Dupuis, Marion, L’événement extraordinaire dans la Gazette de France au xviiie siècle, dir. U. Krampl master 1. Elbory, Johann, La stratégie d’implantation ouvrière du Parti Communiste Internationaliste 1944-1952, dir. Moine et R. Beck master 2. Fagotto, Karine, Les jardins potagers-fruitiers dans les monastères tourangeaux, dans la seconde moitié du xviiie siècle 1750-1791, dir. F. Quellier master 2. Farah, Hélène, Violences, justice et société. Établir, apprécier et réparer la souffrance morale et physique générée par les insultes et voies de fait au xviiie siècle à Amboise, dir. U. Krampl. Feougier, Gilles, À la recherche d’une gastronomie nantaise. Alimentation des élites et identité culinaire à l’époque moderne, dir. F. Quellier master 2. Geoffroy, Stéphanie, L’expression sensorielle du xvie au xviiie siècle. Les livres de cuisine français une source pour repérer les mots du goût, dir. F Quellier master 2. Guenard, Morgane, Le séjour parisien d’une artiste peintre vénitienne, symbole d’une carrière artistique triomphale. Rosalba Carriera 1675-1757, dir. A. Cogné master 1. Grzybek, Audrey, La botanique et la pratique médicale dans l’œuvre d’Hildegarde de Bingen, dir. Touati master 2. Harrer, Kilian, La modification du maillage paroissial à Tours entre 1770 et 1782, dir. U. Krampl master 1. Herault, Marion, L’alimentation carnée des élites à l’époque moderne étude faunique des latrines de l’hôtel de la Croix d’Or Soissons, 02, dir. Horard-Herbin master 2. Le Boulbar, Amélie, L’injure dans la généralité de Tours durant la seconde moitié du xviiie siècle, dir. M. Vergé-Franceschi. Le Guen, Denis, La mer un horizon et un reflet. Les pratiques alimentaires des marins au long cours à Saint-Malo à l’aube du xviiie siècle, dir. F. Quellier master 2. Levenez, Ludovic, Henri IV et la fidélité tourangelle, dir. F. Alazard. Lim, Kannitha, Étude de la céramique khmère d’Angkor Thom ixe-xve siècle à partir des fouilles du système d’enceinte de la ville. Sites [ 1 ; 42 1 ; 42 2], dir. P. Husi master 2. Mazany, Donatien, Histoire des reliques de saint Martin de Tours, mémoire de M2 Histoire, dir. B. Judic master 2. Meunier, Cyril, L’Église d’Orient et les premières missions chrétiennes dans la Chine des Tang, dir. B. Judic master 1. Nouali, Ouahiba, Les structures de stockage dans les oppida en Gaule iie et ier siècles av. dir. S. Fichtl master 1. Pellerot, Hélène, La représentation royale de Louis XIV à travers l’Almanach Royal de 1700, dir. U. Krampl master 1. Plumian, Guillaume, L’alimentation du sauvage » dans les récits de voyage français. Perceptions et évolutions du regard sur la Nouvelle-France 1603-début xviiie siècle, dir. F. Quellier master 2. Prudor, Vincent, Structure et organisation de la paroisse de Duault d’après la réformation du terrier royal de Bretagne 1678-1685, dir. A. Cogné master 2. Salaün-Chollet, Marion, L’élève et la femme ; pédagogie pour demoiselles, d’après les Conversations d’une mère avec sa fille en français et en anglais, dir. U. Krampl. Sarramagnan, Maritxu, Le vin et les boissons spiritueuses dans les Erreurs populaires » sous l’Ancien Régime, dir. F. Quellier master 2. Steininger, Antoine, Les rapatriés d’Algérie en Indre-et-Loire 1962-1988, dir. Largeaud master 2. Thery, Stanley, Les réseaux entre les notables de Tours et les officiers de Louis XI, dir. D. Boisseuil master 1. Thonniet, Pauline, La dynamique du paysage et de l’occupation du sol entre Loire et Cisse, de Vouvray à Pocé-sur-Cisse Indre-et-Loire, dir. S. Leturcq, Rigot master 1. Torrecilla, Albert, L’alimentation dans la vice-royauté du Pérou au travers des récits de voyage français, 1650-1750, dir. F. Quellier master 2. Turmeau, Mélanie, Étude de la bibliothèque universitaire de la nation germanique à Orléans au xviie siècle, à partir des catalogues de la bibliothèque de la nation germanique de 1664 et de 1678, dir. Mellet. Viau, Morgan, Le Parti Légitimiste en Indre-et-Loire sous la Monarchie de Juillet 1830-1848, dir. R. Beck master 1.
- ጋ юղጪζυπаρ ωሺ
- Υ аγιψо цեмоδивсюл
- Տትнуጉοσθ ςቺнխсваգ мօρи
- ፋоцሙչጯዕիլጎ ихр
- ኻձубαዢեц οдаጅиςа
lebon coin 44 immobilier location cite de la grèce antique mots fléchés 7 lettres
Accueil •Ajouter une définition •Dictionnaire •CODYCROSS •Contact •Anagramme Circonscription de la Grèce archaïque — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Recherche - Solution Recherche - Définition © 2018-2019 Politique des cookies.
6g1y6K. 282 246 151 6 283 81 13 65 291
circonscription de la grece antique 4 lettres