FrĂ©dĂ©ricFrançois, Mon coeur te dit je t'aime. Les FrĂšres Jacques, La truite. Michel Fugain, Les Acadiens. Michel Fugain, Attention mesdames et messieurs. Michel Fugain, Bravo, Monsieur le Monde. Michel Fugain, Comme un soleil. Michel Fugain, Fais comme l'oiseau. Michel Fugain, La fĂȘte. Michel Fugain, Je n'aurai pas le temps Paroles de Mon Coeur Te Dit Je T'aimeInterprĂ©tĂ©es par FrĂ©dĂ©ric FrançoisLa maison a l'air plus grande, Surtout la chambre, Il ne reste rien de toi que ton parfum, Je dĂ©couvre en ton absence, Un vide immense En voyant s'ouvrir les roses du jardin, Je vis prĂšs du tĂ©lĂ©phone, Mais quand il sonne, C'est jamais le coup de fil que j'espĂ©rais, Tu m'oublies et moi je chante, Mais si je chante, C'est seulement pour me retenir de pleurer. Mon cƓur te dit je t'aime, Il ne sait dire que ça, Je ne veux pas te perdre, J'ai trop besion de toi, Mon cƓur te dit je t'aime, Il est perdu sans toi, Mon cƓur te crie je t'aime, A chaque fois qu'il bat. C'est surtout lorsque je rentre, Que tu me manques, Il faut dire que chaque soir, tu m'attendais, Et malgrĂ© ma solitude, Par habitude, Hier encore je t'ai fais chauffer du cafĂ©, Je dois perdre un peu la tĂȘte, Dans ma dĂ©faite, Je t'invente et je ne sais plus oĂč j'en suis, A nouveau tes yeux m'Ă©clairent, J'ai ta lumiĂšre en couleur sur des photos, Tu me souris. Mon cƓur te dit je t'aime, Il ne sait dire que ça, Je ne veux pas te perdre, J'ai trop besion de toi, Mon cƓur te dit je t'aime, Il est perdu sans toi, Mon cƓur te crie je t'aime, A chaque fois qu'il bat. Mon cƓur te dit je t'aime, Il ne sait dire que ça, Je ne veux pas te perdre, J'ai trop besion de toi, Mon cƓur te dit je t'aime, Il est perdu sans toi, Mon cƓur te crie je t'aime, A chaque fois qu'il bat. Mon cƓur te dit je t'aime, La la la la ,la la, La la la la la la, la La la la la, la la Mon cƓur te dit je t'aime... JĂ©suslui rĂ©pondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton Ăąme, et de toute ta pensĂ©e. C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-mĂȘme. De ces deux commandements dĂ©pendent toute la loi et les prophĂštes. Matthieu 22. 34/40. La maison a l'air plus grande, Surtout la chambre, Il ne reste rien de toi que ton parfum, Je dĂ©couvre en ton absence, Un vide immense En voyant s'ouvrir les roses du jardin, Je vis prĂšs du tĂ©lĂ©phone, Mais quand il sonne, C'est jamais le coup de fil que j'espĂ©rais, Tu m'oublies et moi je chante, Mais si je chante, C'est seulement pour me retenir de pleurer. Mon cƓur te dit je t'aime, Il ne sait dire que ça, Je ne veux pas te perdre, J'ai trop besoin de toi, Mon cƓur te dit je t'aime, Il est perdu sans toi, Mon cƓur te crie je t'aime, A chaque fois qu'il bat. C'est surtout lorsque je rentre, Que tu me manques, Il faut dire que chaque soir, tu m'attendais, Et malgrĂ© ma solitude, Par habitude, Hier encore je t'ai fais chauffer du cafĂ©, Je dois perdre un peu la tĂȘte, Dans ma dĂ©faite, Je t'invente et je ne sais plus oĂč j'en suis, A nouveau tes yeux m'Ă©clairent, J'ai ta lumiĂšre en couleur sur des photos, Tu me souris. Mon cƓur te dit je t'aime, Il ne sait dire que ça, Je ne veux pas te perdre, J'ai trop besoin de toi, Mon cƓur te dit je t'aime, Il est perdu sans toi, Mon cƓur te crie je t'aime, A chaque fois qu'il bat. Mon cƓur te dit je t'aime, Il ne sait dire que ça, Je ne veux pas te perdre, J'ai trop besoin de toi, Mon cƓur te dit je t'aime, Il est perdu sans toi, Mon cƓur te crie je t'aime, A chaque fois qu'il bat. Mon cƓur te dit je t'aime, La la la la ,la la, La la la la la la, la La la la la, la la Mon cƓur te dit je t'aime... Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la SociĂ©tĂ© des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM Jene pourrais jamais t’oublier, mon premier amourMais moi je t’aime, je t’aime Et bien que la vie passe Si je ne t’ai pas prĂšs de moi je ne peux pas le nier, Je meurs de l’amourMais moi je t’aime, je t’aime, Et si je ne montre pas ma douleur Je t’ai marquĂ© comme un tatouage dans mon coeurDans mon coeur. Les paroles de la
Le 28 juin JĂ©sus dit "Soyez parfaits, vous tous que j’aime d’un amour privilĂ©giĂ©. Vivez en anges, vous qui constituez ma cour sur terre". Si l’invitation aimante Ă  ĂȘtre parfaits comme mon PĂšre[1] est faite Ă  tous, elle devient un doux commandement pour ceux que j’ai choisis pour mes amis et intimes. Être de mes disciples — non au sens gĂ©nĂ©ral qui s’applique Ă  tous les chrĂ©tiens, mais au sens propre du nom dont j’appelais mes douze disciples et amis — est un grand honneur mais qui comporte un grand devoir. La petite perfection ne suffit plus, c’est-Ă -dire ne pas commettre de fautes graves et obĂ©ir Ă  la Loi dans ses rĂšgles les plus spĂ©cifiques. Il faut atteindre aux raffinements de la perfection, observer la Loi dans ses plus dĂ©licates nuances, je dirais mĂȘme l’anticiper avec quelque chose en plus. Comme les enfants qui ne se contentent pas d’aller vers la maison du pĂšre en marchant Ă  cĂŽtĂ© de celui qui les y amĂšne, mais qui passent devant en courant, tout joyeux, surmontant la fatigue et les obstacles d’un sentier plus ardu pour pouvoir arriver plus vite, car leur amour les Ă©peronne. La maison de votre PĂšre est au Ciel; l’amour est ce qui vous Ă©peronne Ă  surmonter, en volant, toute difficultĂ© pour atteindre rapidement le Ciel oĂč le PĂšre vous attend, les bras dĂ©jĂ  ouverts, prĂȘts Ă  vous Ă©treindre. Donc, non seulement mon disciple doit obĂ©ir Ă  la Loi dans les choses importantes que j’ai imposĂ©es Ă  tous, mais il doit interprĂ©ter mon dĂ©sir, mĂȘme non exprimĂ©, que vous fassiez le maximum de bien que vous pouvez, dĂ©sir que l’amant comprend car l’a­mour est lumiĂšre et savoir. Je vais maintenant t’expliquer deux points de l’Évangile, l’un de Matthieu[2] et l’autre de Luc [3]. En rĂ©alitĂ©, il s’agit d’une seule parabole, mais exprimĂ©e avec quelques diffĂ©rences. Il ne faut pas s’étonner qu’on trouve de telles diffĂ©rences chez mes Ă©vangĂ©listes. Lorsqu’ils Ă©crivaient ces pages, c'Ă©taient encore des hommes, dĂ©jĂ  Ă©lus mais pas encore glorifiĂ©s. Ils pouvaient donc commettre des bĂ©vues, faire des erreurs, de forme et non de substance. Il n’y a que dans la gloire de Dieu qu’on ne se trompe plus. Mais pour l’atteindre, ils devaient encore beaucoup lutter et seul des Ă©vangĂ©listes rapporte ce que je dis avec une exactitude phonographique. Mais c’était le pur et l’amoureux. RĂ©flĂ©chis Ă  cela. La puretĂ© et la charitĂ© sont si puissantes qu’elles permettent de comprendre, de se rappeler, de transmettre ma parole sans erreur, pas mĂȘme d’une virgule ou d’une rĂ©flexion. Jean Ă©tait une Ăąme sur laquelle l’Amour Ă©crivait ses paroles, et il pouvait le faire car l’Amour ne se pose que sur les cƓurs purs et n’a de contact qu’avec eux, et Jean Ă©tait une Ăąme virginale, aussi pure que celle d’un petit enfant. J’ai n’ai pas confiĂ© ma MĂšre Ă  Pierre, mais Ă  Jean, car la Vierge devait rester avec le vierge. Souviens-toi de ceci Dieu ne communique pas les substances spirituelles qui rendent Ă  l’ñme cette fraĂźcheur candide, laquelle attire mon regard et obtient ma parole, Ă  qui n’a pas la puretĂ© du cƓur, conservĂ©e depuis la naissance ou regagnĂ©e par un travail assidu de pĂ©nitence et d’amour. Donc, mes Ă©vangĂ©listes racontent qu’un personnage — l’un nous dit que c’est un roi, l’autre laisse entendre qu’il s’agit d’un riche seigneur — donna un grand banquet, probablement de noces, et y invita un grand nombre d’amis. Mais ceux-ci allĂ©guĂšrent des excuses, dit Luc, et s’en moquĂšrent, renchĂ©rit Matthieu. Malheureusement, avec votre Dieu vous n’allĂ©guez mĂȘme pas d’excuses et vous rĂ©pondez souvent Ă  ses invitations en vous en moquant. Alors le seigneur du banquet, aprĂšs avoir puni les mal Ă©levĂ©s, pour ne pas gaspiller les aliments dĂ©jĂ  prĂ©parĂ©s, envoya ses serviteurs chercher tous les pauvres, les boiteux, les estropiĂ©s, les aveugles qui Ă©taient autour de la maison, en attente des restes, ou qui accouraient de partout, partagĂ©s entre la crainte et le besoin. Il ordonna de leur ouvrir la salle et de les faire asseoir Ă  table aprĂšs les avoir lavĂ©s et vĂȘtus comme il se doit. Mais la salle n’était pas encore pleine. Alors le riche seigneur ordonne aux serviteurs de sortir de nouveau et d’inviter n’importe qui, mĂȘme en utilisant une douce violence. Entrent ainsi, non seulement les pauvres qui errent dans le voisinage des riches, mais aussi ceux qui n’y pensent pas, convaincus de ne pas ĂȘtre connus du seigneur et de n’avoir besoin de rien. Quand la salle fut comble, le riche seigneur entra et il remarqua un invitĂ© - on ne prĂ©cise pas si c’était un pauvre ou un passant, mais c’est un dĂ©tail sans importance — qui avait enlevĂ© son habit de noces, ce qui fait penser que c’était un passant riche et orgueilleux et non un pauvre convaincu d’ĂȘtre un nĂ©cessiteux. Alors le seigneur indignĂ©, voyant qu’on mĂ©prisait son don et qu’on piĂ©tinait le respect dĂ» Ă  la demeure de l’hĂŽte, le fit chasser car aucune contamination ne doit entrer dans la salle de noces. Maintenant je vais t’expliquer la double parabole. Les invitĂ©s sont ceux que j’appelle par une vocation spĂ©ciale, une grĂące gratuite que j’accorde comme une invitation Ă  l’intimitĂ© avec moi-mĂȘme dans mon palais, comme Ă©lection Ă  ma Cour. Les pauvres, les aveugles, les manchots, les difformes sont ceux qui n’ont pas reçu d’appel spĂ©cial ou d’aide particuliĂšre, qui, par leurs seuls moyens, n’ont pas pu conserver ou obtenir la santĂ© et la richesse spirituelles, mais, au contraire, ont aggravĂ© leur malheur par de naturelles imprudences. Ce sont, en d’autres termes, les pauvres pĂ©cheurs, les Ăąmes faibles et difformes qui n’osent se prĂ©senter Ă  la porte, mais rĂŽdent aux alentours du palais en attendant une misĂ©ricorde qui leur redonne des forces. Les passants pressĂ©s, qui ne se soucient pas de ce qui se passe dans la demeure du Seigneur, sont ceux qui vivent dans les religions plus ou moins rĂ©vĂ©lĂ©es ou dans leur religion personnelle qui s’appelle argent, affaires, richesses. Ceux-ci croient ne pas avoir besoin de me on constate que souvent ceux qui ont Ă©tĂ© appelĂ©s nĂ©gligent mon appel, s’en dĂ©sintĂ©ressent, prĂ©fĂšrent s’occuper de choses humaines au lieu de se consacrer aux choses surnaturelles. Alors je fais entrer les pauvres, les aveugles, les boiteux, les difformes; je les revĂȘts de l’habit de noces, je les fais asseoir Ă  ma table, je les dĂ©clare mes invitĂ©s et je les traite en amis. Et j’appelle aussi ceux qui sont en dehors de mon Église, je les attire avec insistance et courtoisie, je les contrains mĂȘme avec une douce violence. Dans mon Royaume, il y a de la place pour tout le monde, et ma joie consiste Ă  vous faire entrer nombreux. Mais malheur Ă  ceux que j’ai Ă©lus par vocation et qui me nĂ©gligent, prĂ©fĂ©rant se consacrer Ă  des choses naturelles. Et malheur Ă  ceux qui, accueillis avec bienveillance mĂȘme s’ils ne le mĂ©ritaient pas, et revĂȘtus par ma magnanimitĂ© de la grĂące qui recouvre et annule les laideurs, enlĂšvent leur habit de noces, manquant ainsi de respect envers moi et ma demeure oĂč rien d’indigne ne doit circuler. Ils seront expulsĂ©s du Royaume car ils auront piĂ©tinĂ© le don de Dieu. Des fois, parmi les pĂ©cheurs et les convertis, je vois des Ăąmes si belles et si reconnaissantes que je les choisis pour Ă©pouses Ă  la place des autres que j’avais appelĂ©es et qui m’ont repoussĂ©. Toi, Maria, tu Ă©tais une pauvresse, une mendiante affamĂ©e, anxieuse, sans vĂȘtements. AprĂšs avoir essayĂ© par toi-mĂȘme de rassasier ta faim, de calmer ton anxiĂ©tĂ©, de recouvrir tes misĂšres, sans y rĂ©ussir, tu t’es approchĂ©e de ma demeure ayant compris qu’en elle seule il y a paix et rĂ©confort vĂ©ritable. Et moi, je t’ai accueillie, te mettant Ă  la place d’une autre qui, appelĂ©e par moi, a rejetĂ© la grĂące[4], et te voyant reconnaissante et pleine de bonne volontĂ©, je t’ai choisie pour Ă©pouse. L’épouse ne reste pas dans la salle de banquet. Elle pĂ©nĂštre dans la chambre de l’époux et en dĂ©couvre les secrets. Mais malheur Ă  toi si la bonne volontĂ© et la reconnaissance s’assoupissaient en toi. Tu dois continuer Ă  travailler pour me plaire toujours davantage. Travailler pour toi, pour me remercier de t’avoir appelĂ©e; travailler pour l’autre Ăąme, qui a repoussĂ© les noces mystiques, pour qu’elle se convertisse et revienne Ă  moi. Qui c’est, tu le sauras un jour. Maintenant, nourris-toi Ă  ma table, habille-toi de mes vĂȘtements, rĂ©chauffe-toi Ă  mon feu, repose-toi sur mon cƓur, console-moi des dĂ©fections des Ă©lus, aime-moi par reconnaissance, aime-moi pour rĂ©parer, aime-moi pour obtenir, aime-moi pour augmenter tes mĂ©rites. Je donne la robe nuptiale Ă  celle que j’aime d’un amour de prĂ©dilection. Mais la bien-aimĂ©e doit, par une vie d’une perfection angĂ©lique, l’orner toujours plus. Tu ne dois jamais dire ’C’est assez’. Ton Époux et Roi est un tel Seigneur que la robe nuptiale de la mariĂ©e doit ĂȘtre garnie de pierres prĂ©cieuses afin d’ĂȘtre digne d’habiller l’élue appelĂ©e Ă  s’asseoir dans le palais de son Seigneur". JĂ©sus dit encore “Cette fois, je me montre Ă  toi sous un autre aspect. L’Eucharistie est Chair, mais elle est Sang aussi. Me voici sous l’aspect du Sang. Regarde comme il exsude et ruisselle sur mon visage dĂ©figurĂ©, comme il coule le long de mon cou, sur ma poitrine, sur ma tunique, dou­blement rouge car trempĂ©e de mon Sang. Regarde comme il mouille mes mains liĂ©es et descend jusqu’aux pieds, au sol. Je suis vraiment celui qui presse le raisin dont parle le prophĂšte, mais c’est moi que mon amour a pressĂ©. Bien peu nombreux sont ceux qui savent Ă©valuer le prix infini de ce Sang, que j’ai prodiguĂ© jusqu’à la derniĂšre goutte pour l’HumanitĂ©, et jouir de ses trĂšs puissants mĂ©rites. Je demande maintenant Ă  celui qui sait le regarder et comprendre d’imiter VĂ©ronique et d’essuyer avec son amour le visage ensanglantĂ© de son Dieu. Je demande maintenant Ă  celui qui m’aime de panser avec son amour les blessures que les humains ne cessent de me faire. Je demande maintenant surtout de ne pas laisser ce Sang se perdre, de le recueillir avec une attention infinie, jusqu’à la plus petite gout­te, et de le rĂ©pandre sur ceux qui ne se soucient pas de mon sang. Au cours du mois qui s’achĂšve, je t’ai beaucoup parlĂ© de mon CƓur et de mon Corps dans le Sacrement. Maintenant, pendant le mois de mon Sang, je te ferai prier Ă  mon Sang. Dis donc ceci "TrĂšs Saint Sang qui jaillis pour nous des veines du Dieu fait homme, descends comme une rosĂ©e rĂ©demptrice sur la Terre contaminĂ©e et sur les Ăąmes que le pĂ©chĂ© rend semblables Ă  des lĂ©preux. VoilĂ  je t’accueille, Sang de mon JĂ©sus, et je te rĂ©pands sur l’Église, sur le monde, sur les pĂ©cheurs, sur le Purgatoire. Aide, rĂ©conforte, purifie, allume, pĂ©nĂštre et fĂ©conde, Oh ! TrĂšs divin Suc de Vie. Et que l’indiffĂ©rence et le pĂ©chĂ© ne t’empĂȘchent pas de couler. Au contraire, pour le petit nombre de ceux qui t’aiment, pour le nombre infini de ceux qui meurent sans toi, accĂ©lĂšre et rĂ©pands sur tous cette trĂšs divine pluie afin qu’on vienne Ă  toi confiant en la vie, que par toi on soit pardonnĂ© dans la mort, qu’avec toi on entre dans la gloire de ton Royaume. Ainsi soit-il". Ça suffit maintenant. À ta soif spirituelle je tends mes veines ouvertes. Bois Ă  cette source. Tu connaĂźtras le Paradis et la saveur de ton Dieu, saveur qui ne te manquera jamais si tu sais toujours venir Ă  moi les lĂšvres et l’ñme purifiĂ©es par l’amour.” Mon JĂ©sus avait commencĂ© Ă  parler Ă  quatre heures du matin, dans les pauses de mon demi-sommeil. La parole descendait comme une goutte de lumiĂšre dans les rĂ©veils et s’abĂźmait dans les retours du sommeil parce que je suis si fatiguĂ©e, si Ă©puisĂ©e... C’était comme si JĂ©sus Ă©tait penchĂ© sur mon lit et me disait un mot de temps en temps. MĂȘme quand vint l’heure de m’asseoir et de bouger, secouant le sommeil, ces mots qui avaient Ă©tĂ© rĂ©pĂ©tĂ©s maintes fois, comme le refrain d’une berceuse spirituelle, brillĂšrent vivement dans mon esprit. Ce sont les deux premiĂšres phrases du premier passage du 28 “Soyez parfaits... Vivez en anges”. DerriĂšre elles se dĂ©roulĂšrent les autres phrases. Il restait bien peu Ă  dire quand vous[5] ĂȘtes arrivĂ© avec la Sainte Communion. Et tout Ă©tait fini peu aprĂšs. L’autre passage, comme vous pouvez facilement comprendre, est une vue intĂ©rieure est-ce que ça se dit ? de mon JĂ©sus blessĂ© et ruisselant de sang. Ce n’est pas le beau JĂ©sus des autres fois, vĂȘtu de blanc, ordonnĂ©, majestueux, ni l’Enfant resplendissant de la derniĂšre fois, qui souriait du sein de sa un JĂ©sus triste, trĂšs triste, dont les larmes se mĂȘlent au sang, un JĂ©sus contusionnĂ©, dĂ©peignĂ©, sale, la tunique dĂ©chirĂ©e, les mains liĂ©es et la couronne bien enfoncĂ©e sur la tĂȘte. Je vois distinctement la couronne de grosses Ă©pines, pas longues mais serrĂ©es, qui pĂ©nĂštrent dans les chairs et les Ă©corchent. Chaque cheveu a sa goutte de sang et le sang ruisselle du front sur les yeux, le long du nez, descend le long de la barbe et du cou, sur la tunique, tombe goutte Ă  goutte sur les mains et semble plus rouge tant elles sont pĂąles, mouille la terre aprĂšs avoir mouillĂ© les pieds. Mais le plus triste Ă  voir est le regard... Il demande pitiĂ© et amour, et trahit sous une mansuĂ©tude rĂ©signĂ©e, une douleur aussi [6], si j’en Ă©tais capable, je voudrais pouvoir le dessiner pour vous et pour moi. Parce que, Ă  bien y penser, je ne connais aucun tableau de JĂ©sus et de Marie qui ressemble Ă  ce que je vois. Ni dans les traits, ni dans l’expression. Celle-ci en particulier fait dĂ©faut dans les tableaux des maĂźtres. Mais, devenir peintre, moi... Rien n’est impossible Ă  Dieu, c’est vrai, mais c’est en demander un peu trop !... Et je crois que le bon Dieu n’en fera rien, aussi pour que je n’éprouve pas de complaisance...[1] Cf. Matthieu 5, 48.[2] Matthieu 22, 1-14 – Cf. EMV Luc 14, 16-24. Cf. EMV Voir aussi EMV On ignore de qui il s'agit, mais on peut supposer qu'il s'agit d'une contemporaine. Les mystiques voyantes, telles Anne-Catherine Emmerich XIXe siĂšcle ou Marie d'AgrĂ©da XVIIe siĂšcle ont eu, elles aussi, leur martyre acceptĂ©. C'est la malignitĂ© des hommes parfois partant d'une bonne intention comme pour Clemens Brentano qui a perverti la transcription de leurs visions
AA A Je ne veux pas te per-dre A D J'ai trop besoin de toi D D Mon coeur te dit je t'aime D G Il est perdu sans toi A A Mon coeur te crie je t'ai-me A D D * Bb Eb À chaque fois qu'il

Les paroles de Mon Coeur Te Dit Je T'aime de FrĂ©dĂ©ric François ont Ă©tĂ© traduites en 1 languesLa maison a lâ€Čair plus grande Surtout la chambre Il ne reste rien de toi que ton parfumJe dĂ©couvre en ton absence Un vide immense En voyant s'ouvrir les roses du jardin Je vis prĂšs du tĂ©lĂ©phone Mais quand il sonne Câ€Čest jamais le coup de fil que j'espĂ©rais Tu m'oublies et moi je chante Mais si je chante Câ€Čest seulement pour me retenir de pleurer Mon cƓur te dit je tâ€Čaime Il ne sait dire que ça Je ne veux pas te perdre J'ai trop besoin de toi Mon cƓur te dit je tâ€Čaime Il est perdu sans toi Mon cƓur te crie je t'aime À chaque fois quâ€Čil bat C'est surtout lorsque je rentre Que tu me manques Il faut dire que chaque soir, tu mâ€Čattendais Et malgrĂ© ma solitude Par habitude Hier encore je t'ai fais chauffer du cafĂ© Je dois perdre un peu la tĂȘte Dans ma dĂ©faite Je t'invente et je ne sais plus oĂč jâ€Čen suis À nouveau tes yeux mâ€ČĂ©clairent J'ai ta lumiĂšre en couleur sur des photos Tu me souris Mon cƓur te dit je tâ€Čaime Il ne sait dire que ça Je ne veux pas te perdre J'ai trop besoin de toi Mon cƓur te dit je tâ€Čaime Il est perdu sans toi Mon cƓur te crie je t'aime À chaque fois quâ€Čil bat Mon cƓur te dit je t'aime Il ne sait dire que ça Je ne veux pas te perdre J'ai trop besoin de toi Mon cƓur te dit je tâ€Čaime Il est perdu sans toi Mon cƓur te dit je tâ€Čaime À chaque fois qu'il bat Mon cƓur te dit je tâ€Čaime Il ne sait dire que ça Je ne veux pas te perdre J'ai trop besoin de toi Mon cƓur te dit je tâ€Čaime Il est perdu sans toi Mon cƓur te dit je t'aime À chaque fois quâ€Čil bat Mon cƓur te dit je t'aime Il ne sait dire que ça Je ne veux pas te perdre J'ai trop besoin de toi Mon cƓur te dit je tâ€Čaime Il est perdu sans toi Mon cƓur te crie je tâ€Čaime À chaque fois qu'il batWriters Michel Eugene Jourdan, Francois Frederic, Santo Barracato 56 prĂ©fĂ©rĂ©sDerniĂšres activitĂ©s

Programmede chant de SolennitĂ© de St Pierre et st Paul, ApĂŽtres Messe du 29 Juin 2014 Ă  18h00. ENTREE: peuple de bienheureux Refpeuple de bienheureux peuple de Dieu en marche au royaume des Dieu marche joyeux 1-Bienheureux es-tu toi qui a un cƓur de pauvre.Bienheureux es-tu car le royaume est Ă  toi 2- Bienheureux es-tu toi au cƓur plein de douceur.Bienheureux es-tu Tout a commencĂ© le jour oĂč je t'ai vu La terre c'Ă©tait arrĂȘtĂ© de tourner J'y ai pas cru Ma bien aimĂ©e, ma cherie Ma love story, mon amour C'est comme ç=a que je te prĂ©nommais Jusqu'au fameux jour OĂč les rumeurs m'ont frappĂ© au coeur Comme une torpille Tu m'as jurĂ© Et j'ai gober En regardant tes pupilles L'incendie de mon paradis c'Ă©tait Ă©teint T'avais tout niĂ© en bloc et les problĂšmes Ă©taient loin On marchait main dans la main Je pensais qu'on faisait plus qu'un Alors ce soir Jusqu'au soir ou l'es arrivĂ© A coup de dĂ©rapage Je le connaissais pas mais dans ces yeux y avait de la rage L'orage Il m'a demandĂ© du feux J'ai regardĂ© dans mes poches et la... Un coup ds la tempe Je tombe dans les pommes, le clash, les cloches Et dans mon c'est le Tout est trouble, flou Et v'la ma chĂ©rie que tu te met a l'embrasser Dis moi tu joues a quel jeu Est-ce qu'on est tout les deux? Ma mĂ©lodie je te le dit Mets pas l'incendie dans mon paradis A mon rĂ©veil a l'hĂŽpital Elle Ă©tait a mes cotĂ©s Qu'est-ce que tu fous la?! Attend je vais t'expliquer C'est ce qu'elle a rĂ©pliquer Elle m'a dit c'est mon ex Il est tarĂ© Chaque fois que j'ai un mec Il dĂ©barque pour le tabasser Il croit que je lui appartient a la vie a la mort Il me fais peur et franchement Il a peur de rien Et elle c'est mise a sangloter comme une gosse qu'on gronde Angoisse profonde, ma main Et si tu la berce Plus des vagues de tristesses Ses yeux versent Je lui dit que tout s'arrangera et que l'on S'en sortira Elle se met a sourire Et ce que j'ai dans la gauche poitrine S'illumine Mais le lendemain j'appelle mes sosses et leur explique mon bazar Pour rĂ©gler mon histoire EnfroyĂ© mais pas pour deffroyĂ© Je veux un tĂȘte a tĂȘte avec la bĂȘte qui m'a eu en traitre AU bout de 5 minutes On tombe sur lui La nuit derniĂšre j'avais pas vu Qu'il Ă©tait bĂąti comme 500 briques On c'est chiffonnĂ© Pendant au moins 20 minutes Il a pris le dessus mais Je lui ai mis des bons steak Mais pendant le combat il a dit des paroles Franchement, qui me font doutĂ© de toi Dis moi tu joues a quel jeu Est-ce qu'on est tout les deux? Ma mĂ©lodie je te le dit Mets pas l'incendie dans mon paradis Dis moi tu joues a quel jeu Est-ce qu'on est tout les deux? Ma mĂ©lodie je te le dit Mets pas l'incendie dans mon paradis Allo? Ça va? Ouais, j'attendais ton appel T'es encore avec stomy la? Ouais Tu sais ce que je pense? Ouais mais t’inquiĂštes po y a que toi que j'aime mon chĂ©ri J'ai l'impression que tu sais pas de quel pieds dansĂ© T'as le cul entre deux chaises Tu mens mĂȘme a tes pensĂ©es En disant que t'es a l'aise Mais je t'aime autant que je te plains De la haine a la passion Mon coeur est plein J'aimerais prendre mon courage a deux main Et te dire "Casse toi Catin!" Mais j'arrive pas J'aimerais que tu n'aime que moi et qu't'oublies ce barbares! Mais t'arrives pas J'ai mĂȘme entendu dire que tu me tapes de la mail Pour la donner a cette merde de racaille Mais quand je te regarde Je veux pas y croire et tu le sais On essai de repartir d'un bon pied Pour Ă  nouveau tout recommencer DĂšs le mois de juillet Mais l'embrouille c'est comme si l’était mariĂ© Cette fois on se vĂ©nĂšre Il me braque et lui dit "Putain tu viens avec moi lĂ ! dĂ©pĂȘche toi!" Et elle lui dit " Non laisse moi c'est lui que j'aime! Laisse moi!" Vla qui se met a trembler, suer et.. Je pisse le sang mais la balle a traverser mon Ă©paule Et c'est logĂ© dans la tĂȘte de mon amour le corps inerte x6 Dis moi tu joues a quel jeu Est-ce qu'on est tout les deux? Ma mĂ©lodie je te le dit Mets pas l'incendie dans mon paradis Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la SociĂ©tĂ© des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM Parolesde Mon Coeur Te Dit Je T'aime La maison a l'air plus grande, Surtout la chambre, Il ne reste rien de toi que ton parfum, Je dĂ©couvre en ton absence, Un vide immense En voyant traduction en anglaisanglais/français A A My hearts tells you I love you The house feels bigger now Especially the bedroom Nothing remains of you except your perfume I discover in your absence An immense emptiness In seeing the blooming roses in the garden I live beside the telephone But when it rings It's never the call that I'm wishing for You've forgotten me, and I'm singing But if I sing It's only to keep me from cryingMy heart tells you that I love you That's all it knows how to say I don't want to lose you I need you too much My heart tells you I love you It is lost without you My heart cries that I love you Every time that it beatsIt's especially when I come home That I miss you I have to say that each night, you were waiting for me And despite my solitude Out of habit, Yesterday I warmed some coffee for you I must be losing my head a bit In my defeat, I invent you and I don't know where I am anymore Anew, your eyes shine at me I have your light in color in a few photos And you smile at meMy heart tells you that I love you That's all it knows how to say I don't want to lose you I need you too much My heart tells you that I love you It is lost without you My heart cries that I love you Every time that it beats My heart tells you that I love you It only knows how to say that I don't want to lose you I need you too much My heart tells you that I love you It is lost without you My heart cries that I love you Every time that it beats My heart tells you that I love youLa la la la la la la La la la la la la la My heart tells you I love you français françaisfrançais ajGqj. 21 296 155 373 31 289 282 217 131

parole mon coeur te dit je t aime