ï»żLafoire Bio, les 6 et 7 aoĂ»t Ă  Chapelle des Bois (25) les Ă©vĂ©nements et les stages de l'atelier "Entre Hier et Aujourd'hui". HORAIRES BOUTIQUE De janvier Ă  Juin et septembre - octobre. Vendredi 14h - 18h Juillet - aoĂ»t et novembre - dĂ©cembre. Jeudi - Samedi. 10h - 12h et 14h - 18h. 19, rue des tilleuls, 70200 Les Aynans . 07 67 24 92 36 .
Les prĂ©jugĂ©s sexistes ont considĂ©rablement Ă©voluĂ© ces derniĂšres annĂ©es. Parmi les thĂ©ories actuelles, la distinction faite par les psychologues Swin, Aikin, Hall et Hunter se sexisme est une attitude basĂ©e sur l’infĂ©rioritĂ© supposĂ©e des femmes en tant que groupe. Ce comportement s’est dĂ©veloppĂ© tout au long de l’histoire Ă  travers des facteurs sociologiques, au point d’opprimer complĂštement les femmes simplement parce qu’elles sont des cette attitude ne s’exprime gĂ©nĂ©ralement pas ouvertement dans de nombreuses sociĂ©tĂ©s occidentales ; dans la plupart des collectifs, il s’agit de l’éviter ou de lutter contre elle. Cependant, dans une grande partie du monde, tout comme le machisme, le sexisme reste profondĂ©ment prĂ©jugĂ©s sexistes ont considĂ©rablement Ă©voluĂ© au cours des derniĂšres dĂ©cennies. Parmi les thĂ©ories actuelles, la distinction faite par les psychologues Swin, Aikin, Hall et Hunter se distingue. Voici plus de dĂ©tails thĂ©ories actuelles sur les prĂ©jugĂ©s sexistesTout d’abord, nous devons faire la diffĂ©rence entre le sexisme ancien et le sexisme moderne. Le sexisme ancien serait la conception traditionnelle du rĂŽle des femmes comme Ă©tant infĂ©rieur Ă  celui des hommes. Le sexisme moderne, en revanche, se caractĂ©rise principalement par l’opposition aux revendications fĂ©ministes. Cette attitude repose sur la conviction que les femmes ne font plus l’objet de discrimination, de sorte que toute politique ou action fĂ©ministe serait outre, ce que l’on appelle nĂ©osexisme a rĂ©cemment fait son apparition. Cette thĂ©orie reflĂšte le conflit qui existe chez beaucoup de personnes les valeurs Ă©galitaires envers les femmes par opposition aux sentiments de supĂ©rioritĂ© masculine que l’on Ă©prouve encore envers psychologues Glick et Fiske ont tentĂ© d’appliquer au sexisme une analyse similaire Ă  celle des thĂ©ories contemporaines sur les prĂ©jugĂ©s raciaux. Cependant, la particularitĂ© de la relation entre hommes et femmes rend difficile l’application des thĂ©ories de prĂ©jugĂ©s racistes aux existe un paradoxe la relation entre les hommes et les femmes a Ă©tĂ© dominĂ©e et subordonnĂ©e, mais ce type d’interaction n’a pas empĂȘchĂ© la formation de relations intimes et familiales. Les hommes ont Ă©tĂ© capable de rejeter les femmes dans leur travail, mais de les accepter Ă  la maison. L’ambivalence envers les femmes se reflĂšte clairement dans l’ambivalence thĂ©orie du sexisme ambivalentDĂ©veloppĂ©e par Glick et Fiske 1996-2001, c’est la thĂ©orie la plus influente sur le sexisme aujourd’hui. Comme il le mentionne Ă  juste titre, elle est fondĂ©e sur l’ambivalence. Les relations entre les hommes et les femmes, tout au long de l’histoire et aujourd’hui, ont Ă©tĂ© caractĂ©risĂ©es par la dĂ©pendance. En ce sens, deux types de sexisme coexisteraient Le sexisme hostile c’est au travers de celui-ci que les femmes sont considĂ©rĂ©es comme un groupe subordonnĂ© et qui lĂ©gitime le contrĂŽle social exercĂ© par les hommes. Les femmes sont Ă©valuĂ©es nĂ©gativement comme Ă©tant infĂ©rieures Le sexisme bienveillant ce serait le comportement qui idĂ©aliserait les femmes en tant qu’épouses, mĂšres et objets romantiques. En rĂ©alitĂ©, cela prĂ©suppose aussi l’infĂ©rioritĂ© des femmes en considĂ©rant qu’elles ont besoin d’un homme pour prendre soin d’elles et les protĂ©ger Dans le cadre du sexisme bienveillant, on Ă©value positivement la femme comme diffĂ©rente, mais on l’encadre aussi dans certaines fonctions ; dans le sexisme hostile, on lui attribue des caractĂ©ristiques pour lesquelles on la critique. En fin de compte, les deux formes visent Ă  lĂ©gitimer et Ă  renforcer l’inĂ©galitĂ© entre les fĂ©minisme et la lutte pour l’égalitĂ©Aujourd’hui, en raison du dĂ©veloppement des droits fondamentaux dans de nombreuses sociĂ©tĂ©s principalement occidentales, le fĂ©minisme et la lutte pour l’égalitĂ© sont en fĂ©minisme est un mouvement social et politique, nĂ© Ă  la fin du XVIIIĂšme siĂšcle, qui implique la prise de conscience des femmes en tant que groupe. Les femmes, Ă  travers le mouvement, font entendre la voix de l’oppression, de la domination et de l’exploitation dont elles ont Ă©tĂ© et continuent d’ĂȘtre l’objet dans le patriarcat. Le fĂ©minisme passe Ă  l’action pour la libĂ©ration de leur y a encore beaucoup d’inĂ©galitĂ©s dans le monde. Les prĂ©jugĂ©s sexistes, la violence de genre ou les crimes sexuels sont des actions qui continuent Ă  se manifester jour aprĂšs jour. Il est donc important d’ĂȘtre conscient de la rĂ©alitĂ© et d’agir pour la existe des mesures juridiques pour prĂ©venir et combattre les crimes haineux liĂ©s Ă  la violence de genre et aux infractions sexuelles. Cependant, la chose la plus importante dans ce sens n’est pas de punir, mais d’éduquer. Il est essentiel d’enseigner dĂšs le plus jeune Ăąge que le respect, la tolĂ©rance et l’égalitĂ© sont des droits fondamentaux. De cette façon, le dĂ©veloppement d’une sociĂ©tĂ© sans jugement peut ĂȘtre pourrait vous intĂ©resser ...

Dhier qu’elles sont doctoresses, avocates. D’hier qu’elles travaillent Ă  l’École des beaux-arts et Ă  la Villa MĂ©dicis. Aujourd’hui, les femmes de presque tous les pays ont une arme de revendications : c’est le Conseil international, qui, en 1888, naquit d’un CongrĂšs Ă  Washington, et d’un autre Ă  Chicago, en 1893.

Ajouter aux favoris 0La crĂ©ation de favoris est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s! Connectez-vous Le 8 mars est la JournĂ©e internationale des droits des femmes. CĂ©lĂ©brĂ© dans de nombreux pays Ă  travers le monde, le 8 mars est dĂ©fini par les Nations Unies comme un jour oĂč les femmes sont reconnues pour leurs rĂ©alisations, sans Ă©gard aux divisions, qu’elles soient nationales, ethniques, linguistiques, culturelles, Ă©conomiques ou politiques. C’est une occasion de faire le point sur les luttes et les rĂ©alisations passĂ©es, et surtout, de prĂ©parer l’avenir et les opportunitĂ©s qui attendent les futures gĂ©nĂ©rations de femmes. » La date a dĂ©finitivement Ă©tĂ© officialisĂ©e par les Nations unies en 1977. Cependant, on considĂšre aussi qu’elle date d’encore plus longtemps puisqu’en 1910, Ă  Copenhague, lors de la deuxiĂšme confĂ©rence de l’Internationale socialiste des femmes, l’idĂ©e d’une JournĂ©e internationale des femmes » est adoptĂ©e, sur une proposition de Clara Zetkin, reprĂ©sentante du Parti socialiste d’Allemagne, sans qu’une date soit avancĂ©e. » Source WikipĂ©dia Les inĂ©galitĂ©s entre les hommes et les femmes existent depuis toujours et, malgrĂ© les avancĂ©es de certains groupes, d’autres s’arrangent pour que le dĂ©sĂ©quilibre persiste. Des mouvements fĂ©ministes sont apparus au cours des derniĂšres dĂ©cennies pour veiller Ă  Ă©tablir une justice entre les sexes. Par exemple, les suffragettes ont combattu pour le droit de vote des femmes au dĂ©but du 20e siĂšcle, acquis en 1918 au fĂ©dĂ©ral et en 1940 au QuĂ©bec. Plus prĂšs de nous, en 2017, le mouvement metoo a fait des vagues partout dans le monde en dĂ©nonçant le harcĂšlement sexuel envers les femmes surtout, mais pas que. Ces derniĂšres annĂ©es, plusieurs marches se sont dĂ©roulĂ©es pour revendiquer plus de mesures pour combattre les agressions et le harcĂšlement sexuels, et pour rĂ©clamer que justice soit faite pour les femmes autochtones disparues et assassinĂ©es. Voyez Ă  ce sujet notre guide JusticePourJoyce. Peu importe les conditions et les circonstances, c’est important d’ĂȘtre ici pour se battre pour les droits des femmes et pour donner du pouvoir Ă  toutes les femmes et donner de la visibilitĂ© Ă  tous les problĂšmes dont on parle aujourd’hui, a confiĂ© Caroline Alince, ĂągĂ©e de 19 ans. »Source La Presse, 19 janvier 2019 Mais au-delĂ  de dĂ©fendre les droits des femmes, qu’est-ce qu’ĂȘtre une femme aujourd’hui? Est-ce que cela se vit de la mĂȘme façon qu’avant? On commence par activer les connaissances Ă  l’aide de cette courte Minute MAJ, qui amorce bien la rĂ©flexion en expliquant aux Ă©lĂšves ce qu’est la fĂ©minitĂ© Pour aller plus loin S’ils veulent tester leurs connaissances sur la JournĂ©e internationale des droits des femmes, vos Ă©lĂšves peuvent rĂ©aliser ce quiz. Ils trouveront l’ensemble des rĂ©ponses aux questions dans cet article. Également, cette vidĂ©o produite par MAJ permet de comprendre la raison de la nĂ©cessitĂ© de tenir une telle journĂ©e, encore de nos jours. SUGGESTIONS D’ACTIVITÉS Disciplines et niveaux visĂ©s Histoire et Ă©ducation Ă  la citoyennetĂ© 2e cycle du secondaireInterroger les rĂ©alitĂ©s sociales dans une perspective historiqueLe mouvement fĂ©ministe Dimensions de la compĂ©tence numĂ©rique ciblĂ©es DĂ©velopper et mobiliser des habiletĂ©s technologiquesCrĂ©er du contenu Ă  l’aide du numĂ©riqueDĂ©velopper et mobiliser sa culture informationnelleCommuniquer Ă  l’aide du numĂ©riqueDĂ©velopper sa pensĂ©e critique Ă  l’égard du numĂ©rique Outils numĂ©riques suggĂ©rĂ©s iMovie mode bande-annonceClips Padlet, Genially, Pages ou autre plateforme pour crĂ©er une ligne du tempsWord ou Google Docs pour collaborer Intention pĂ©dagogique du guide Les activitĂ©s suivantes permettront aux Ă©lĂšves de s’interroger sur la rĂ©alitĂ© sociale des mouvements fĂ©ministes et des droits des femmes Ă  travers le temps. Objectifs des activitĂ©s DĂ©finir le fĂ©minisme en s’attardant sur ses acteurs et ses une ligne du temps qui retrace les Ă©vĂ©nements marquants de la cause fĂ©ministe au QuĂ©bec et au un regard critique sur les diffĂ©rences entre les femmes de 1960 et d’aujourd’hui. Pour obtenir les suggestions d’activitĂ©s destinĂ©es aux enseignants, vous devez vous abonner aux guides en version Enseignant ou École! ConnexionEn savoir plus sur SCOOP!Abonnement Un guide de Maxime Laflamme, Laurie Couture, VĂ©ronique Lavergne
Exercicede comparaison entre hier et aujourd'hui. Comparer sous forme de tableau une culture traditionnelle et une culture moderne sous l'angle des transports, des vĂȘtements, de la nourriture, de l'Ă©ducation, des maisons, des outils, des mĂ©tiers. Ou utiliser un schĂ©ma conceptuel pour classer les idĂ©es. Le schĂ©ma conceptuel peut servir d'ordonnateur

Dans nos sociĂ©tĂ©s africaines, la femme Ă©tait marginalisĂ©e, considĂ©rĂ©e comme un sexe faible. Les durs travaux exigeant de la patience lui Ă©taient rĂ©servĂ©s. Elle devait ĂȘtre soumise Ă  son mari et les quelques compensations que l’homme trouve de temps Ă  autre dans la vie sociale lui sont refusĂ©es. Elle restait Ă  la ferme et ne connaissait aucun loisir. Dans son foyer, elle se lĂšve tĂŽt le matin pour les travaux mĂ©nagers. PremiĂšre Ă  se lever, elle se couche la derniĂšre. En tant qu’épouse, la femme doit ĂȘtre docile, soumise et travailleuse. Elle ne doit jamais dire un mot plus haut que son mari ; elle doit aussi respecter les traditions, ignorer toutes les activitĂ©s de son mari ou du moins, faire semblant de les oublier. En tant qu’épouse, elle doit s’occuper de son mari et de sa belle-famille si toutefois ils partagent la mĂȘme cour. Comme mĂšre, elle doit s’occuper de l’éducation de ses enfants, leur donner des soins prĂ©ventifs. Pourtant, pendant ses grossesses, elle n’a pas de loisir, elle n’a pas le temps de s’occuper de sa santĂ©, ainsi, elle est prĂ©maturĂ©ment flĂ©trie et rongĂ©e de maladies. Elle se sacrifie pour la vie et le bonheur de son enfant. Hier, la femme considĂ©rĂ©e comme un ĂȘtre sacrĂ©, devrait respecter les traditions de sa famille. Ainsi, elle Ă©tait donnĂ©e en mariage forcĂ© Ă  un homme qu’elle ne connaissait mĂȘme pas ; celui-ci pouvait ĂȘtre un jeune comme un vieux. Elle Ă©tait soumise Ă  l’excision car selon la tradition, une femme non excisĂ©e serait infidĂšle Ă  son mari, impure donc, elle n’était pas considĂ©rĂ©e comme une vraie femme. La scolarisation lui Ă©tait refusĂ©e, car il Ă©tait malhonnĂȘte qu’une femme Ă©tudie et sache tant de choses et cela pour plusieurs raisons avoir l’Ɠil sur les hommes et vouloir leur donner des ordres mĂȘme au foyer. Une fois au foyer, elle n’a pas le droit de vouloir limiter ses naissances car l’enfant est considĂ©rĂ© comme un garant de la pĂ©rennitĂ©. AprĂšs la mort de son mari, elle Ă©tait directement destinĂ©e Ă  son frĂšre, sans penser par ailleurs que celle-ci a un cƓur, une raison, qu’elle n’est pas un objet que l’on se passe de main en main. Dans certaines sociĂ©tĂ©s, elles s’adonnent Ă  des travaux physiques dĂ©passant manifestement leur force comme les travaux agricoles par exemple. La plupart du temps, le travail rural rĂ©duit la femme Ă  la bonne Ă  tout faire. Dans le monde contemporain, une prise de conscience aiguĂ« s’est opĂ©rĂ©e face Ă  la condition de la femme. L’injustice dont elle Ă©tait victime a Ă©tĂ© perçue dans sa vraie dimension sur le plan social mais surtout Ă©conomique, car elle jouit d’une libertĂ© assez importante dans l’économie. Beaucoup de gens s’accordent Ă  reconnaĂźtre que le fait de marginaliser les femmes rĂ©duit l’efficacitĂ© de presque tous les aspects du processus de dĂ©veloppement. Les femmes instruites, Ă©duquĂ©es, libĂ©rĂ©es ou Ă©mancipĂ©es sont plus ouvertes Ă  l’innovation et contribuent positivement au dĂ©veloppement du foyer et du pays. Bref ! L’émancipation de la femme peut ĂȘtre dĂ©finie comme l’indĂ©pendance, l’épanouissement, la libĂ©ration de celle-ci de l’exploitation de l’homme. Les femmes font virtuellement tout, ce que les hommes font et dans tous les domaines de la vie politique, Ă©conomique ou professionnelle. C’est ainsi qu’une journĂ©e le 8-Mars leur est consacrĂ©e chaque annĂ©e et leurs droits sont reconnus depuis lors et appuyĂ©s par le sommet de Beijing en Chine, en 1996. Des luttes sont engagĂ©es contre la mutilation gĂ©nitale, les violences conjugales, les injustices comme les divorces abusifs, le droit Ă  l’hĂ©ritage et l’accĂšs Ă  la propriĂ©tĂ© privĂ©e. Quoi qu’il en soit, l’indĂ©pendance vĂ©ritable de la femme, a pour condition premiĂšre la prise de conscience par elle-mĂȘme de sa propre personnalitĂ©, de la capacitĂ© Ă  assumer son propre destin et de sa rentrĂ©e dans le monde du travail. Les pouvoirs publics, les gouvernements soutiennent toutes ces actions car les femmes sont partout majoritaires et on ne peut bĂątir vĂ©ritablement une nation en Ă©cartant la couche la plus nombreuse. Et la femme africaine n’est pas en reste, surtout la femme burkinabĂš. Partout en Afrique, on assiste Ă  une amĂ©lioration du statut de la femme. Elle est dĂ©sormais l’égale de l’homme bien sĂ»r en droit et en devoir mĂȘme si beaucoup reste Ă  faire. Toutefois, cette nouvelle philosophie ne doit pas faire perdre Ă  la femme africaine, son identitĂ© de femme africaine. La vĂ©ritable femme africaine Ă©mancipĂ©e est celle qui part de son statut d’Africaine pour amĂ©liorer sa vie, celle de ses compagnes et celle de son foyer. L’émancipation ne doit pas faire perdre Ă  la femme son africanitĂ©. Sawadogo Mathias, secteur 25 Bobo-Dioulasso

Dansun message, retweeté par l'ambassadrice de France au Royaume-Uni, Catherine Colonna, le député conservateur Tobias Ellwood a fustigé : "Si nous voulons vaincre Poutine, nous avons besoin d'un leadership et d'une unité internationaux." "Comparer la lutte du peuple ukrainien contre la tyrannie de Poutine au peuple britannique votant

Oli57day La femme d’hier n’avait pas les mĂȘmes droits que la femme d’aujourd’hui, elle est plus moderne, ne se laisse pas faire par un homme, prend ses propres dĂ©cisions et agit en fonction d’elle-mĂȘme, la femme d’aujourd’hui est magnifique tout comme celle d’hier mais c’est une femme libre 0 votes Thanks 0 Oli57day J’espĂšre t’avoir aidĂ©, j’attends ton retour

MaismalgrĂ© toutes ces diffĂ©rences, je pense que ce qui rassemble les femmes d'aujourd'hui est la volontĂ© de mener de front leur vie professionnelle, leur vie affective et Les changements ayant eu le plus grand impact ont Ă©tĂ© l'exode rural et la sortie des femmes des foyers pour investir les lieux publics, les Ă©tablissements scolaires et l'emploi rĂ©munĂ©rĂ©. La rupture avec l'ancien modĂšle est donc amorcĂ©e. Notre sociĂ©tĂ© est en pleine Ă©bullition. Notre sociĂ©tĂ© est en pleine Ă©bullition. La tradition et la modernitĂ© s'entremĂȘlent, s'affrontent au quotidien, dans une bataille parfois violente la rĂ©sistance des anciens et des conservateurs Ă  la modernitĂ© et aux changements et le rejet des jeunes et des progressistes de traditions qui ne correspondent plus Ă  leur mode de vie et de pensĂ©es. AprĂšs Nous les femmes, vous les hommes », cet ouvrage est le deuxiĂšme tome des chroniques de Soumaya Naamane Guessous. Il sera suivi de deux autres ouvrages traitant de sujets tout aussi passionnants. Biographie de Soumaya Naamane Guessous Sociologue, professeur universitaire, experte internationale, chroniqueur, consultante en dĂ©veloppement du potentiel humain, elle s'attaque Ă  des thĂšmes sensibles et brise des tabous pour dĂ©noncer les injustices. Elle milite en faveur de la protection des femmes et des enfants. SpĂ©cialiste du couple, elle oeuvre pour l'assainissement des relations homme/femme. Auteur de multiples Ă©tudes et ouvrages, traitant de la sexualitĂ©, de la mĂ©nopause et de l'andropause, et des mĂšres cĂ©libataires et leurs enfants. Ses Ă©crits et son engagement lui ont valu de multiples distinctions ; dĂ©corĂ©e par Sa MajestĂ© Mohammed VI du Wissam Alaouite du MĂ©rite National de l'Ordre de Commandeur, elle a Ă©tĂ© Ă©galement nommĂ©e Chevalier de la LĂ©gion d'Honneur par le PrĂ©sident de la RĂ©publique Française.
Al'heure d'une sociĂ©tĂ© globalisĂ©e Ă  outrance, il est intĂ©ressant de voir rĂ©sister une pratique ancestrale, le chamanisme, enracinĂ© aujourd'hui encore chez certains peuples et dont la dĂ©finition mĂ©rite d'ĂȘtre circonscrite, pour Ă©viter les approximations. Ni religion dans le sens classique du terme, ni doctrine, puisqu'il n'y a pas d
Qu'est-ce qu'ĂȘtre une femme en 2009?Carine Favier, prĂ©sidente du Planning Familial "C'est difficile Ă  dire car il y a un grand fossĂ© entre les mĂšres de familles mono-parentales qui vivent souvent dans des situations prĂ©caires et les femmes diplĂŽmĂ©es conscientes de leur droit et qui luttent pour les faire progresser. Mais malgrĂ© toutes ces diffĂ©rences, je pense que ce qui rassemble les femmes d'aujourd'hui est la volontĂ© de mener de front leur vie professionnelle, leur vie affective et familiale. Rares sont celles qui sont prĂȘtes Ă  renoncer Ă  un emploi pour avoir des enfants ou vice-versa." Claude Sarraute, journaliste et Ă©crivain "Aujourd'hui, ĂȘtre une femme n'est plus un problĂšme, c'est un privilĂšge. On peut travailler, avoir des enfants, voter... Quand je me suis engagĂ©e dans le combat pour l'Ă©galitĂ© des sexes, jamais je n'aurais imaginĂ© que la condition de la femme Ă©voluerait aussi vite. Les progrĂšs rĂ©alisĂ©s en l'espace de 50 ans sont indĂ©niables. Le fait qu'il y ait des femmes Ă  la tĂȘte du pouvoir, dans tous les mĂ©tiers avec des responsabilitĂ©s Ă©tait inimaginable il y a encore quelques annĂ©es." Antoinette Fouque, prĂ©sidente de l'Alliance des femmes pour la dĂ©mocratie "Depuis plus de quarante ans, nous nous sommes battues pour que les femmes deviennent citoyennes Ă  part entiĂšre et qu'elles aient le droit de rĂ©aliser l'intĂ©gralitĂ© de leurs compĂ©tences. Et nous avons gagnĂ© en droits et en libertĂ©s plus que jamais dans l'histoire. Les Françaises ont le plus fort taux de fĂ©conditĂ© de l'Union europĂ©enne et parviennent Ă  mener de front leur activitĂ© professionnelle et l'Ă©ducation de leurs enfants." Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1€ sans engagement Saphia Azzeddine, Ă©crivaine "D'une part, je ne m'envisage pas uniquement en tant que femme. Et puis je ne milite pas, j'Ă©cris des bouquins ou les femmes disent ce qu'elles pensent. Je pense qu'ĂȘtre une femme est Ă  peu prĂšs la mĂȘme chose qu'ĂȘtre un homme en 2009, Ă  quelques dĂ©tails prĂšs les salaires, les baffes et dans certains pays les droits. Plus sĂ©rieusement, une femme en 2009 c'est s'accommoder de nos illusions de femmes libres et toujours relativiser nos dĂ©sillusions. Sans ça, la femme 2009 serait un kamikaze." Quelles sont les principales difficultĂ©s auxquelles sont confrontĂ©es les femmes? "La crise Ă©conomique met en pĂ©ril les femmes en situation fragile, c'est-Ă -dire une majoritĂ© des femmes. En France comme dans le monde la pauvretĂ© ne cesse de se fĂ©miniser. L'Observatoire national de la dĂ©linquance vient d'annoncer pour 2008 une forte augmentation des violences faites aux femmes leur situation des femmes se dĂ©grade comme se dĂ©grade celle de la planĂšte, mais la conscience, elle, se dĂ©veloppe. L'Ă©cologie a intĂ©grĂ© les programmes politiques, il faut faire de mĂȘme avec la condition fĂ©minine." "Il reste encore Ă  faire progresser la paritĂ© dans les entreprises. C'est anormal que les femmes, Ă  qualitĂ© Ă©gale, gagnent moins d'argent ou Ă©voluent moins vite dans l'entreprise. Mais ces changements risquent de prendre trĂšs longtemps. Il faut faire Ă©voluer les mentalitĂ©s, amĂ©liorer la rĂ©partition des tĂąches mĂ©nagĂšres pour rendre effective la paritĂ©. La condition des femmes dans certaines banlieues est Ă©galement trĂšs difficile. Je soutiens complĂštement le mouvement Ni Putes Ni Soumises. Beaucoup de filles des citĂ©s vivent sous la coupe de leur grand frĂšre, sont victimes de mariage forcĂ© et mĂȘme parfois d'excision. Dans certains quartiers, la cause des femmes est encore loin d'ĂȘtre acquise." "L'Ă©galitĂ© est encore loin d'ĂȘtre acquise le taux de chĂŽmage chez les femmes est plus important que chez les hommes, les salaires moins Ă©levĂ©s, la prĂ©caritĂ© est souvent plus importante... MĂȘme en ce qui concerne les Ă©tudes, il existe une diffĂ©rence flagrante. D'aprĂšs un sondage rĂ©alisĂ© en 2009, 61% des parents sont prĂȘts Ă  prendre en charge l'intĂ©gralitĂ© des frais de scolaritĂ© de leur fils. Ce chiffre tombe Ă  48% pour les filles [ndlr enquĂȘte Ipsos/CrĂ©dit Agricole]. Les femmes souffrent Ă©galement de discriminations notamment au moment de leur recherche d'emploi." "Les gouttes de pipi sur la cuvette des wc, les blagues de cul pas drĂŽles et ces hommes qui entendent oui alors qu'elles disent non. En effet, se rendre compte que des fondamentaux que l'on croyait acquis soient remis en cause." Quelles Ă©volutions avez-vous constatĂ© sur cette question depuis le dĂ©but de votre engagement? "Aujourd'hui, les notions de paritĂ© et d'Ă©galitĂ© paraissent Ă©videntes. Les femmes savent qu'elles doivent lutter pour leurs droits. La possibilitĂ© de travailler a permis d'Ă©largir l'autonomie des femmes mĂȘme s'il reste encore beaucoup de chemin Ă  parcourir. Nous avons constatĂ© au Planning familial que la situation des femmes a plus changĂ© dans les mentalitĂ©s que dans la rĂ©alitĂ© elles veulent qu'on les traite d'Ă©gal Ă  Ă©gal avec les hommes; elles ont parfois mĂȘme l'impression que c'est dĂ©jĂ  le cas, mais lorsqu'on regarde les Ă©tudes faites sur le sujet, on se rend compte qu'on est encore loin du compte." "La vie des femmes est beaucoup plus facile qu'il y a quelques annĂ©es. Ce qui nous paraĂźt Ă©vident aujourd'hui, ne l'Ă©tait pas avant voter, travailler, voyager... Moi, quand j'ai commencĂ© Ă  exercer mon mĂ©tier de journaliste au Monde, j'avais besoin de l'autorisation de mon mari. MĂȘme chose lorsque j'ai voulu ouvrir un compte en banque. Cette situation est inconcevable Ă  l'heure actuelle. Mais il y avait aussi du bon avant les hommes faisaient la cour aux femmes, leur tenait la porte... Aujourd'hui, lors d'un rendez-vous galant, la fille doit se payer son McDo avant d'aller coucher avec son copain!" "Qu'il y ait une journĂ©e de la femme au mois de mars et qu'on nous offre des fleurs. Non je plaisante, c'est mĂȘme une rĂ©gression. Le numĂ©ro vert par contre, ça c'est bien! Sauf quand la mĂąchoire est cassĂ©e et donc lĂ  ça ne sert Ă  rien." Comment lutter contre la violence faites aux femmes?Carine Favier est la prĂ©sidente du Planning familial. "Il est trĂšs important de travailler sur la prĂ©vention. Avec le Planning Familial, nous organisons rĂ©guliĂšrement des ateliers ou des forums pour amĂ©liorer les relations entre les filles et les garçons. Il est indispensable de faire comprendre aux gens, mĂȘme aux plus jeunes, que les diffĂ©rences biologiques ne doivent pas ĂȘtre un prĂ©texte aux diffĂ©rences sociales. Nous organisons Ă©galement des groupes de parole, notamment avec les auteurs de violences, pour leur faire prendre conscience de la gravitĂ© de leurs actes." "Il faut continuer le combat sur la mĂȘme lancĂ©e. Je pense que si cette question Ă©volue aussi vite que pendant les cinquante derniĂšres annĂ©es, la situation des femmes ne sera bientĂŽt plus un problĂšme." "J'ai proposĂ© en 2008 un Grenelle des femmes non seulement sur les violences dont elles sont parfois victimes mais Ă©galement sur leur rapport Ă  la sociĂ©tĂ©. Cela permettra de connaĂźtre et reconnaĂźtre ce que l'humanitĂ© leur doit, ce qu'elle peut en recevoir." "D'un point de vue physique, rendre les coups autant que cela est possible et partir aprĂšs le premier coup, pas le deuxiĂšme." Que pensez-vous de la loi proposĂ©e par MichĂšle Alliot-Marie? "Le Planning Familial n'est pas Ă  l'origine de cette loi mais nous en sommes globalement plutĂŽt satisfait. Nous regrettons simplement qu'elle n'aborde pas du tout l'aspect prĂ©ventif qui est essentiel Ă  nos yeux. De plus, nous sommes contre la crĂ©ation de tribunaux spĂ©ciaux pour juger les auteurs de violences faites aux femmes. Il est important que les coupables soient punis mais nous ne voulons d'une judiciarisation Ă  l'extrĂȘme de ces questions." Et pour vous, c'est quoi ĂȘtre une femme aujourd'hui?Comment a Ă©voluĂ© le statut des femmes dans notre sociĂ©tĂ©? Caroline Politi et Julie Saulnier Les plus lus OpinionsLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne RosencherChroniquePar GĂ©rald Bronner mWGe. 289 257 110 158 388 26 109 232 269

comparaison entre la femme d hier et d aujourd hui